Poursuivre les L5 sur INSTAGRAM :Coralie : : https://www.instagram.com/marjoriel5offAlexandra : https://www A cause de la guerre, des milliers d'Ukrainiens, principalement des femmes et des enfants, ont tout quitté pour trouver refuge en France. Franceinfo donne la parole à six d'entre eux, qui décrivent le mal du pays et l'incertitude face à l' Olga, Sofi, Oleksandra, Tany et Elena font partie des quelque 100 000 Ukrainiens accueillis en France. Il et elles ont quitté l'Ukraine après le début de l'invasion russe, le 24 février dernier et ont été accueillis par la France comme réfugiés. Certains pensaient ne rester qu'un mois, d'autres espèrent ne pas quitter l'Hexagone ; ces réfugiés ont en commun des histoires de déchirement et de deuil de leur vie d'avant. Et une question, qui revient en fil conducteur comment se reconstruire et avancer quand on a laissé son pays, ses proches et sa vie à 3 000 kilomètres ? >> Guerre en Ukraine suivez notre direct pour les six mois du conflit Pour franceinfo, cet homme et ces femmes ont accepté de raconter leur quotidien dans leur pays d'accueil, entre problème de logement, difficulté à faire son deuil, à étudier ou à créer. "J'ai mis deux mois à comprendre à quel point j'étais triste" Sofi Zakrasniana, 16 ans, Alixan Drôme. Je suis arrivée ici, dans la Drôme, le 13 avril. Au début, je ne voulais pas aller à l'école française, je ne voulais faire connaissance avec personne. J'étais extravertie en Ukraine et ici, je suis devenue plus réservée. J'ai mis deux mois à comprendre à quel point j'étais triste. Triste de perdre tout ce que j'avais. Emmanuelle, qui m'héberge avec ma mère, a trouvé une école spécialisée dans l'accueil des étrangers. J'y suis allée, tout en continuant mes devoirs pour le lycée à Kiev. Lors de mon premier cours, des élèves m'ont demandé en français qui j'étais. Je n'ai pas répondu. Ils étaient gentils, mais ils ne parlaient pas anglais et je ne maîtrisais pas le français. Je connaissais déjà cette partie du programme de mathématiques. En histoire, aussi, j'avais déjà appris ces leçons, mais je ne comprenais pas les mots du professeur. C'était très difficile. Je me suis accrochée. J'ai été fâchée, en colère, puis j'ai accepté. Mon rêve est d'avoir deux formations devenir psychologue pour enfants et étudier les sciences politiques. J'avais le projet de partir à l'étranger, mais jamais je n'aurais pensé que cela se ferait dans de telles conditions. Je rêve du Canada, mais là-bas, les études ne sont pas gratuites, et mes deux parents ont perdu leur travail avec la guerre. Je ne sais absolument pas où je pourrai aller. "En même temps, il est plus rassurant d'être en sécurité, de ne plus entendre les sirènes. Elles me donnaient envie de pleurer." Sofi Zakrasnianaà franceinfo En arrivant en Moldavie, puis en Hongrie, j'ai suivi les cours de mon lycée de Kiev à distance, mais des professeurs devaient parfois arrêter le cours et courir pour s'abriter. On peut difficilement parler de cours normaux dans cette situation. Ici, en France, je prépare l'équivalent du bac ukrainien. C'est étrange, car je ne pourrai pas le passer. Il faut être en Ukraine pour cela. Pourrai-je retourner à Kiev dans un an ? Je n'en sais rien. Cela m'inquiète beaucoup, car il me faut cet examen pour poursuivre mes études. "Je ne peux créer que des œuvres liées à cette guerre" Tanya Cheprasova, 46 ans, Paris. Mon nouvel atelier est ici, à Paris. Ma place, c'est celle au fond, derrière le grand chevalet. Je viens tous les jours, du matin au soir. Je crée, je dessine, je peins. Vous avez vu à l'entrée, ça s'appelle "L'Atelier des artistes en exil". Ça porte bien son nom puisque j'ai quitté Kiev fin mars à cause de la guerre. J'ai pris peu de choses avec moi. Juste cette trousse rouge avec des crayons et des marqueurs que j'emmène partout, et ce dossier dans lequel je stocke des croquis. Je pensais que j'allais rentrer vite. Et ça fait cinq mois que je suis là. "Donc rien n'est à moi ici. Ni les tubes de peinture sur les étagères, ni les pinceaux sur la table. Ce pinceau que j'utilise beaucoup, je l'appelle "mon amour"." Tanya Cheprasovaà franceinfo En ce moment, je travaille sur des casques militaires, des vrais. Je les ai achetés ici et je les transforme. J'ai aussi ce portrait en cours. C'est une vieille dame originaire de Marioupol, une rescapée de l'Holocauste, qui a dû de nouveau fuir sa ville. Au début, l'adaptation artistique a été difficile. J'avais des blocages, je commençais quelque chose, j'arrêtais. Je pensais à mes parents qui sont toujours à Louhansk, dans le Donbass. A ma vie d'avant, d'artiste professionnelle. Il a fallu que je me réinvente, l'inspiration est arrivée récemment. A Paris, je suis entourée de très, très belles choses, l'architecture, les monuments. Mais en fait, je ne peux rien créer d'autre que des œuvres liées à cette guerre cruelle. Même si je mets de la sincérité, ces œuvres sont physiquement et psychologiquement assez difficiles à produire. Récemment, j'ai pu exposer dans l'atelier. Ça me fait du bien que le public français voie mon travail. Je garde aussi le lien avec le public ukrainien en publiant des photos sur les réseaux sociaux, c'est important pour moi. Car je vais bien rentrer un jour dans mon pays. D'ailleurs, quand je rentrerai, je ne rapporterai aucune de mes œuvres réalisées ici. Je laisserai aussi les pinceaux, même celui que j'appelle "mon amour". "Je réalise que mon père est mort" Oleksandra Zakrasniana, 40 ans, Alixan Drôme. Au troisième jour de la guerre, des soldats russes ont tué mon père dans le village où je suis née. Ils l'ont fusillé en public. Nous l'avons appris le soir même, alors que nous étions déjà en Moldavie. Nous n'avons pas pu l'enterrer. Son corps est sûrement dans une fosse commune, quelque part. J'ai cherché tous ceux qui étaient prêts à témoigner pour ce crime. Depuis la France où nous sommes arrivées le 13 avril, avec ma fille et ma mère, j'ai échangé avec plus de vingt personnes, localisé l'endroit où papa a été tué. Je suis repartie trois jours à Lviv témoigner auprès de la police et faire un test ADN pour tenter de retrouver son corps. Cela m'a occupée chaque jour pendant plus de deux mois. C'était mon devoir. Je ne pouvais pas ne pas le faire. Je serai soulagée quand nous aurons trouvé sa tombe, quand les coupables seront punis. Mon sentiment est impossible à décrire. J'ai eu une haine très forte envers les soldats russes. Je me demande "Pourquoi ?" Je réalise que mon père est mort. Mais il n'a pas pu être enterré, et cela empêche un processus de deuil. Perdre l'accès à son village natal, c'est aussi, en quelque sorte, un deuxième assassinat. Avec ma famille, nous voulons construire un monument en hommage à papa, à l'endroit précis où il a été tué. "Je n'ai pas encore tourné la page. Mes émotions vont d'un extrême à l'autre." Oleksandra Zakrasnianaà franceinfo Avec ma formation de psychothérapeute, je comprends ce qui se passe. Je cherche la motivation et la force pour recommencer à vivre de nouveau. Savoir que ma fille est en sécurité, avec moi, me donne de la force. Le soutien de nos proches et de la famille qui nous accueille aussi. Je vois le chemin parcouru ma fille est scolarisée, j'ai commencé les cours de français, je recherche un emploi. J'ai posé des bases sur lesquelles je pourrai m'appuyer. Si papa était en vie, il me dirait que j'ai sauvé le reste de la famille. J'ai réussi à amener maman en France. Elle est hospitalisée depuis un mois. Grâce à cela, j'ai pu prolonger sa propre vie. "J'aimerais que la France donne des visas aux étudiants étrangers" Bassem, 21 ans, Andrésy Yvelines. Je n'étais à Odessa que depuis trois mois quand la guerre a éclaté. Je suis tunisien et j'ai quitté mon pays pour suivre un doctorat de psychologie en Ukraine. Je venais à peine de commencer ma première année. J'aimais beaucoup la ville, mais je n'ai pas eu le temps de vraiment la découvrir. J'ai décidé de partir d'Ukraine avec un ami le 27 février, en car, en direction de la Moldavie, parce que l'on entendait constamment des bombes tomber. Mon ami avait peur. Moi non, je m'étais préparé à l'idée d'un départ. Nous n'avons passé qu'une seule journée en Moldavie avant d'arriver à Iasi, en Roumanie, où un avion affrété par mon pays devait décoller pour la Tunisie. J'ai décidé de ne pas monter dedans. "Je ne veux pas revenir en Tunisie, où il y a trop de problèmes de sécurité, l'éducation n'est pas au même niveau... Je n'y ai pas de futur." J'ai pris un train pour Bucarest où je suis resté trois mois. Puis j'ai passé trois semaines en Allemagne. Je m'y plaisais, mais il n'y avait aucune opportunité pour moi là-bas. Je suis finalement arrivé à Andrésy, dans les Yvelines, en juin, où j'ai rejoint un autre ami qui y habite. J'aime beaucoup Paris, je veux rester ici. Je cherche aussi du travail pour avoir un peu d'argent. Je peux tout faire, et j'ai entendu dire que certaines universités pourraient accepter des étudiants sans papiers. On verra si c'est vraiment le cas. Tout cela est très compliqué, car tous mes documents d'identité et mon diplôme sont restés en Ukraine. Je n'ai aucun moyen d'y avoir accès et je ne peux donc pas m'inscrire. Je veux demander le statut de réfugié, mais l'Etat français nous dit de rentrer chez nous, en Tunisie. J'aimerais que les autorités donnent des visas aux étudiants étrangers qui ont fui l'Ukraine et qui sont en France. Bien sûr, je ressens de la tristesse et je suis inquiet, mais je dois continuer à avancer. "Loin de ma maison, je ressens comme un vide" Elena Yarovenko, 46 ans, Viarmes Val-d'Oise. Où est mon foyer, où est ma maison aujourd'hui ? Marioupol et l'Ukraine sont dans mon cœur. C'est notre pays, nos traditions. Notre appartement à Marioupol, où j'ai vécu avec mon fils, a été détruit. Notre ville était moderne, touristique, notre vie était très confortable. Tout allait bien. A mes yeux, il était impossible qu'une guerre puisse avoir lieu au XXIe siècle. Et puis, il y a eu les premiers tirs. Le centre-ville est devenu un cauchemar. Des immeubles étaient partiellement dévastés, il y avait des flammes, des voitures détruites dans la rue. Nous vivions au sous-sol et n'avions plus d'électricité, nous manquions d'eau et de nourriture. C'était terrifiant. Maman ne voulait pas partir "C'est ma maison. Comment pourrais-je partir ?" me disait-elle. Elle est morte fin juin, quand nous étions en Pologne. J'avais besoin de fuir la guerre, mais aussi de fuir son décès. Nous sommes arrivés en France début juillet. En l'espace d'une seconde, j'ai découvert une nouvelle vie. Tout est nouveau. Je me sens un peu chez moi ici. Viarmes est une très belle ville, calme, et les gens sont accueillants. Nous essayons d'apprendre le français avec Grégory, qui nous a permis d'être hébergés. J'essaie de tout noter pour travailler la prononciation. Je peins chaque jour, je cuisine, je me promène au parc. "J'aime ce nouveau pays, sa langue, sa culture. Mais c'est un pays différent. Tout est différent." Elena Yarovenkoà franceinfo Et une part de moi dit "Je veux rentrer chez moi". Ces paysages qui m'entourent, ce n'est pas l'Ukraine. De nombreux amis sont toujours à Marioupol et ce qu'ils m'écrivent est terrifiant. D'autres sont en Allemagne, en Suisse, en Israël... Je veux rentrer chez moi. Je suis loin de ma maison, et je ressens comme un vide en moi. La France, comme l'Ukraine, sera peut-être dans mon cœur un jour. Mais j'ai besoin de temps pour cela. "On comprend que c'est difficile de vivre avec nous" Olga Vasylchenko, 51 ans, Toulouse Haute-Garonne. Je suis partie de Kiev le 17 mars avec mon fils de 15 ans, Myron. L'immeuble où j'habitais n'était pas loin de Boutcha et d'Irpin et les bombardements y étaient très intenses. J'ai choisi la France comme point de chute car je voulais un pays où mon fils puisse continuer ses études. J'ai trouvé une famille d'accueil grâce à Facebook. On a été très bien accueillis, mais la maison était située loin de tout. Le village le plus proche était à plus de 2 km. Heureusement, nos hôtes m'ont aidée à trouver une autre famille d'accueil, plus proche de Toulouse. J'ai été soulagée et j'ai pu inscrire mon fils au collège. Au début, tout s'est très bien passé avec cette nouvelle famille, mais au fil du temps, la situation s'est délitée. On a même interdit à mon fils d'ouvrir le frigo pour se servir à boire ou à manger. On m'a reproché d'être trop souvent absente… Je connais au moins une dizaine de femmes ukrainiennes qui m'ont raconté une expérience similaire. On comprend bien que c'est difficile de vivre avec nous, les réfugiés. Finalement, on nous a demandé de partir. Grâce à l'aide d'une association, on a pu trouver une autre solution d'hébergement. Un ancien monastère reconverti en centre d'accueil temporaire, en banlieue de Toulouse. Le problème, c'est que l'endroit est loin de tout. Il n'y a pas de magasins, un bus qui ne passe plus après 19 heures... Le pire, c'est qu'on se retrouve à 2 heures de voiture du collège de mon fils. "Je ne sais pas comment je vais régler ce problème, mais je vais le régler. Je n'ai pas le choix, car je veux que Myron puisse rester dans le même établissement." Olga Vasylchenkoà franceinfo Je veux aussi revenir en Ukraine, après la guerre. Mais il faut être réaliste, ça n'arrivera pas avant un ou deux ans. Je reste ici pour l'instant, parce que là-bas, Myron ne pourra pas recevoir l'éducation que je veux pour lui tant que la guerre n'est pas terminée. J'espère que nous pourrons trouver une solution de logement en France à long terme. Je ressens un désespoir total à cause de tout cela.
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Laissezcompoter puis épaissir sur feu moyen. Salez, poivrez. • Malaxez la pâte décongelée. Etalez-la sur la plaque de cuisson. • Dessus, répartissez les poivrons, le calamar,
Accueil Catalogue L5 Toutes les femmes de ta vie Afficher plus d'infos Rectangle 79 Group 28 Tonalité identique à l'original Lam Lire le karaoké de Toutes les femmes de ta vie Télécharger KaraFun Enregistrez votre voix afin de trouver les chansons parfaites pour vous ! Paroles de Toutes les femmes de ta vie Corrigez les paroles erronées Toute reproduction interdite rendu célèbre par L5 Auteurs-Compositeurs Billy Steinberg, Johan Ludvig Åberg, Sigurd Heimdal Rösnes Adaptateur Maïdi Roth, Doriand Cet enregistrement est une reprise de Toutes les femmes de ta vie rendu célèbre par L5 icn Comment black Discuter de Toutes les femmes de ta vie Vous aimerez peut-être... Vous ne trouvez pas le titre recherché ? Ajoutez le à la liste des suggestions pour avoir une chance de le chanter sur KaraFun ! Ajouter une suggestion
Carle Jour de L'ÉTERNEL est proche, contre toutes les nations ; comme tu as fait, il te sera fait ; ta récompense retombera sur ta tête, Abdias v.15. Le Jour de L'ÉTERNEL arrivera inéluctablement, comme le prédit cette prophétie. Et quiconque croit à LA PAROLE DE DIEU est appelé à se préparer pour ce jour grand et redoutable à venir.
100% Hits - Chanson Française Durée 0314 Auteur Johan Abergm Sigurd Roesnes, Billy Steinberg, Maïdi Roth, DoriandCompositeur Johan Abergm Sigurd Roesnes, Billy Steinberg, Maïdi Roth, Doriand Paroles Si on reconsidère les choses Je ne suis pas ton idéal Écoute ce que je te propose Descends-moi de mon piédestal Je ne suis pas celle qu'on dispose En jolie statue de cristal Je préfère quand tout nous oppose Sois mon rival L'amour a tellement de visages À toi d'ouvrir les yeux Est-ce que tu envisages tu envisages Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie Je ferai semblant de te croire Quand parfois je sais que tu mens Je ne ferai même pas d'histoire Si tes ex reviennent en courant Je suis aussi ton oxygène Quand tu as le souffle coupé Une histoire pour s'éloigner des Contes de fées L'amour a tellement de visages À toi d'ouvrir les yeux Est-ce que tu envisages Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois toutes les femmes de ta vie Toutes Celles que je suis Sont là en moi Tu vois Si tu fermes les yeux Regarde en toi Regarde un peu tout ce que tu perds Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie toutes les femmes Glamour ou sexy sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois toutes les femmes de ta vie Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Ta femme, ta meilleure ennemie meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie Toutes les femmes de ta vie ta vie En moi réunies Ton âme sœur ton égérie ton égérie Parfois ta meilleure ennemie ennemie Toutes les femmes de ta vie toutes les femmes Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies toutes les femmes Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie Johan Ludvig Aberg, Laurent Lescarret, Maidi Roth, Sigurd Heimdal Rosnes, William E. Steinberg Universal Music Publishing Group
Toutesles femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes
Le titre Toutes les femmes de ta vie » interprété par L 5 est sorti en 2002 Il s'est classé 1er des ventes de singles en France pendant 1 semaine du 04/01/2002 au 10/01/2002. Retrouvez ce titre dans les playlistes Hit-parade Pop - Variété - Synth-Pop
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Parce que l'on a pas besoin de la fête des mères pour rendre hommage à toutes les à toi d’abord, la mère orpheline, tes bras vides et ton cœur plein d’une absence, celle du cri que ton bébé n’a jamais poussé, celle des rires de l’enfant que tu as enterré, qui cherche dans tes nuits une réponse, une vibration, la musique d’un ange, toi qui tombe, te lève et te relève encore, ta rage de vivre en même temps que cette douleur qui te vrille, sportive héroïque sur le marathon de la vie,A toi la mère qui veut être mère, tes espoirs qui se liquéfient à chaque fois que le sang revient entre tes cuisses, l’attente épuisante, tes fausses couches, tes piqures dans le ventre, ces bleus sur le corps qui marquent ton âme, ce parcours en PMA qui n’en finit pas, long parcours d’une combattante qui veut y croire malgré tout parce que la vie est un miracle,A toi la mère dont l’enfant est différent, cette différence qui t’a fait pleurer, qui a levé des barrières entre toi et les autres, t’a isolée, jusqu’à ce que tu la portes comme une victoire cette différence, parce qu’au fond de toi, maintenant tu le sais, il n’y a pas de normalité, seulement des singularités, peu importe que ça gène, ce gêne en plus ou en moins, c’est ce qui fait toute la différence, ce supplément d’âme, cette richesse de la vie, plurielle, multiple qui déborde du cadre, A toi la femme qui va accoucher et devenir mère, ton corps qui se prépare, ta terreur devant l’inconnu et ton impatience aussi, cette rencontre qui bouleversera à jamais tes tripes et tes atomes, navigatrice de mer en mère, pas d’esquive possible pour cette traversée, ton esquif lancé vers un nouveau rivage, un nouveau virage, celui d’un visage que tu imagines sur ton ventre rebondi, malgré ta peur du lendemain, d’un monde qui ne va pas bien, parce quand un enfant naît, il y a toujours de l’espoir,A toi la mère séparée, tes nuits écourtées, tes réveils matinaux, les repas, les bains, les devoirs, les lessives, les courses, le ménage, tout ce monde à faire tourner comme la machine à laver quand ta tête à toi ne tourne plus très rond, à cause de l’épuisement et de ce frigo à remplir, les comptes qu’il faut tenir, toi la laissée-pour-compte qui jongle entre vie de famille et vie professionnelle, parfois des petits boulots à temps partiels sur l’échiquier de la précarité, mère courage, des centaines de milliers comme toi qui se lèvent chaque jour, le baiser de tes enfants sur ta joue pour unique médaille,A toi la mère migrante, tes enfants accrochés à ton sein et tes valises à bout de bras, tes enfants ton trésor, toi qui fuis la guerre et la violence sur la poussière des chemins, dans l’éclat des tirs d’obus et des nuits étoilées, toi qui n’a plus de toit, qui dort sous la bâche de fortune d’un camps improvisé, espérant pour tes enfants un avenir meilleur, pas de sang, pas de larmes, seulement des gosses insouciants qui courent derrière un ballon, c’est pas trop demandé quand même, dans tes prières adressées à qui veut bien l’entendre, l’espérance d’une vie meilleure, en Europe ou ailleurs, sur la carte des possibles,A toi la mère qui vient de perdre ta mère, tous tes souvenirs remontent, l’enfance enfouie qui surgit comme une irruption volcanique, l’absence de ta mère, ce vide éternel, tout ce que tu aimerais pouvoir lui dire encore, mère qui t’a nourrie, élevée, adorée ou mère absente, indifférente, ce n’est pas facile d’être une mère, il n’y a pas de mode d’emploi, qu’on donne trop de preuves d’amour ou pas assez, au final on aime toujours mal, on aime surtout comme on peut, du plus profond de nos failles et de nos à toutes ces mères - mères orphelines, mères esseulées, mères débordées, mères de famille nombreuse, mères travailleuses, mères manageuses, mères généreuses, mères au foyer, mères-fées, filles-mères, mères sur la route ou en déroute- toutes ces femmes aux histoires singulières, si différentes et pourtant si semblables, autant de récits que de visages, autant de routes que de cicatrices, ces mères-veillent » qui incarnent avec courage, pour l’avoir donnée ou tant espérée, la Drivet, auteure d’un Hiver au printemps, un témoignage sur le deuil périnatal paru aux Éditions des Presses de l’EHESP.
Touteau long de votre grossesse, vous pouvez ici partager votre expérience de femme enceinte ou poser des questions sur la grossesse depuis la conception jusqu’au jour de l’accouchement, les préparatifs pour l’arrivée de bébé, le choix du prénom, vivre sa grossesse au travail . 19631. 19838. par Blackseller.
Passages en MC 18/01/2021 – 23/07/2020 Si on reconsidère les choses Je ne suis pas ton idéal Écoute ce que je te propose Descends-moi de mon piédestal Je ne suis pas celle qu’on dispose En jolie statue de cristal Je préfère quand tout nous oppose Sois mon rival L’amour a tellement de visages 326 mots À toi d’ouvrir les yeux Est-ce que tu envisages Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L’héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie Je ferai semblant de te croire Quand parfois je sais que tu mens Je ne ferai même pas d’histoires Si tes ex reviennent en courant Je suis aussi ton oxygène Quand tu as le souffle coupé Une histoire pour s’éloigner des Contes de fées L’amour a tellement de visages À toi d’ouvrir les yeux Est-ce que tu envisages Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L’héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois toutes les femmes de ta vie Toutes Celles que je suis Sont là en moi Tu vois Si tu fermes les yeux Regarde en toi Regarde un peu tout ce que tu perds Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L’héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L’héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L’héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie P5Qwg. 481 205 91 99 120 360 26 16 493

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