Quenul n’entre ici s’il n’est géomètre, le « G » comme géométrie. La géométrie qui paraît science exacte est symbole dès l’antiquité : de mesure, de rectitude, et pour le compagnon que je suis d’aide à l’approche de la connaissance. Il m’a été dit « apprenez à le connaître, et qu’elle soit votre unique guide » La lettre « G » qui est présentée au

Auteur Philippe Boudon_ DOI [Comment interroger la conception numérique à partir de l’architecturologie, qui s’est donnée la tâche de comprendre la conception architecturale ? Dans un précédent article, Thierry Ciblac questionnait le rôle de l’enseignement de la géométrie dans la formation des architectes et rappelait le nul n’entre ici s’il n’est géomètre ». Philippe Boudon développe et tempère ici la formule négative qu’il lui avait adressée.] Squared vertigo par Ste71 sous licence CC BY-NC-SA Peut-on envisager une architecturologie numérique ? Il ne s’agit pas tant par là d’utiliser l’architecturologie sur un support numérique 1. Ce qui pourrait toutefois être une piste de travail imaginons par exemple un menu architecturologique constitué des concepts architecturologiques comme embrayage, dimension, référence, découpage, etc… La simple simulation de l’usage d’un tel menu, s’il était possible, permettrait peut-être de poser des problèmes à la conception numérique. Mais, de façon épistémologiquement plus ambitieuse, il s’agirait de considérer le mot conception dans une extension dépassant le domaine architectural où il a pris naissance, pour examiner l’apport possible de l’architecturologie – de ses concepts – à la conception numérique 2, comme j’ai pu l’esquisser pour la conception musicale. C’est dans le fond un des horizons du laboratoire dénommé antérieurement ARIAM-LAREA et qui poursuit, sous une nouvelle appellation, le MAACC, d’associer une réflexion architecturologique à ses diverses recherches sur la conception numérique. C’est dans cet esprit que je m’interrogerai ici sur quelques concepts. Espace de référence Le mot désigne une référence encore vague envisagée par le concepteur à la réalité. Tandis que les mots de référent chez le linguiste, ou de référence chez le philosophe requièrent un renvoi précis, d’un signe ou d’un mot à quelque réalité donnée. En termes sémiotiques peirciens, l’espace de référence concerne la priméité. C’est dire son vague, son aspect qualitatif, l’idée de possibilité. Dans ces conditions on imagine d’emblée quelque obstacle du côté du numérique qui ne semble pas bien supporter le vague, le flou, l’imprécis. Mais on peut cependant, sans penser à un usage opératoire, tenir que lorsque Frank Gehry conçoit Bilbao c’est précisément la possibilité offerte par un logiciel, le logiciel Catia qui lui aura permis d’envisager des formes qui auraient sans lui été irréalisables. Dans ce cas il me semble que le numérique aura bien été espace de référence pour l’architecte, comme, pour prendre un autre exemple, l’économique aura pu l’être pour la maison des artisans chez Le Corbusier, ou comme aujourd’hui le développement durable travaille les esprits. On dispose donc avec espace de référence », d’un concept qui pourrait être opératoire pour l’intelligibilité du numérique comme espace de conception même si Gehry dit ne guère prendre d’intérêt à l’informatique comme j’ai pu l’entendre énoncer lors de conférences faites en commune à Washington, le cas Bilbao-Ghery permet de tirer un enseignement qui n’est autre que la possibilité, pour la conception architecturale, que le numérique puisse constituer un espace de référence pour elle. Il semble que ce soit là une philosophie qui commande plus d’un des travaux menés au MAACC. Mais on peut aussi poser la question sous une forme symétrique, à savoir la possibilité de la conception architecturale d’être espace de référence pour la conception numérique. Sans doute est-ce là encore une voie suivie par le laboratoire, mais l’idée d’examiner les deux possibilités dans une symétrie ne pourrait-elle forcer à clarifier des programmes de recherche en les distinguant et engager une représentation dynamique d’allers retours entre conception architecturale et conception numérique ? On pourrait prendre naturellement la déclaration de Gehry à l’égard de l’informatique pour une coquetterie mais je pense qu’il faut la prendre beaucoup plus au sérieux. Traduite en termes architecturologiques cela reviendrait à faire l’hypothèse que les espaces de référence sont trop vagues pour entrer dans la machine » et restent à situer chez l’utilisateur, non dans la machine. En généralisant à la connaissance de la conception numérique cela débouche sur une question majeure de valeur générale qu’est-ce qui est de l’ordre du ou des langages machine et qu’est-ce qui demeure hors de ces langages, c’est-à-dire relève de la pensée du concepteur. En d’autre terme séparer l’informatisable du non informatisable. Le concept d’espace de référence ne me semble donc pas pouvoir s’inscrire dans 1 mais il peut aider à 2. Mais il en irait de même du concept non moins important de pertinence, dont l’échelle géométrique est le degré zéro. Échelle et géométrie, échelle géométrique De façon fondamentale, l’échelle est posée, en architecturologie, non comme quelque notion d’ordre esthétique, comme il est légitime en architecture, mais comme une question épistémologique elle est lieu de la différence entre géométrie et architecture, constituant comme telle un programme de recherche. De ce point de vue on ne peut manquer de constater l’importance de la géométrie dans la conception numérique et le problème qui s’ensuit. Est-ce que le numérique, compte tenu de la place majeure que la géométrie y tient, n’est pas, dans cette mesure même, relativement incompatible avec la conception architecturale, laquelle a toujours affaire à de l’échelle, sous quelque forme que ce soit ? De nombreux commentaires exprimant les difficultés relatives à l’échelle dans l’usage du numérique permettent de penser qu’il y a là un problème de fond. Certains parlent de crise de l’échelle pour cette raison sans peut-être distinguer ce qui est d’ordre général pour la conception architecturale et ce qui peut ressortir précisément au numérique. Or on sait qu’une des échelles architecturologiques entendues à un premier niveau comme pertinences de mesures est l’échelle géométrique, mais une échelle non embrayante. Autrement dit de la géométrie » est présente en architecture ce qui est reconnu en architecturologie par la présence même d’une échelle géométrique, sans qu’elle puisse suffire à dimensionner des objets. Et comme il ne s’agit pas de géométrie au sens mathématique du terme, mais d’une appellation du langage ordinaire qui qualifierait volontiers de » géométrique » un cube qui n’en serait pas tout à fait un la maison des artisans de Le Corbusier par exemple, tandis que les montagnes produites artificiellement par synthèse de figures fractales a priori n’en seraient pas, d’où procède justement notre étonnement pour de telles figures qu’on aurait pas ordinairement qualifiées de géométrique », il convient alors de préciser de façon plus formelle et sans s’en tenir à des formes dites » géométriques » ce qui peut être hypothétiquement entendu en architecturologie par l’expression échelle géométrique. Une des mes hypothèses sur ce point est de la caractériser par son homogénéité. Comme tout espace architectural nécessite des mesures conférées à l’objet via une fonction générale d’embrayage, il suit d’une telle hypothèse que la fonction d’embrayage qui s’y associe se caractérise par son unicité. On peut alors considérer que l’unicité d’embrayage caractérise formellement l’échelle géométrique. Est » géométrique » ce qui suppose une unicité d’embrayage. Dans cette idée d’homogénéité on pourrait sans doute inclure aussi bien, à côté des cubes, sphères et autres volumes réguliers ou semi-réguliers, les grammaires de forme de Georges Stiny, les courbes de Peano, les fractales de Mandelbrot comme les pavages de Penrose et autres. Les coupoles géodésiques de Fuller par contre, malgré la tentation qu’on aurait de les tenir pour » géométriques », n’y entreraient pas au titre d’échelle géométrique mais plutôt de modèle géométrique téléologique. Décrites explicitement ou implicitement les blobs » et autre metaballs » y trouveraient aussi bien leur place, étant décrites par telle ou telle formule », une formule qui en caractérise justement l’homogénéité. Du même coup, on peut constater à quel point la géométrie ou, vaudrait-il mieux dire, le géométrique en architecture », prend une place considérable dans le cas du numérique, tout en ne concernant qu’une partie très limitée de ce qui peut se jouer de façon générale dans l’ordre des opérations de la conception architecturale celle-ci se limiterait à ce qui relève d’une unicité d’embrayage. Le plan du journal Turun Sanomat fournirait à titre d’exemple un cas de figure de la conception particulièrement ardu à simuler pour le numérique. Turun Sanomat Aalto arch., schéma Ph. Boudon Des instituts universitaires développent des secteurs de programmation sous l’expression de géométrie architecturale » qui montrent en même temps l’hypertrophie qui peut guetter la conception dans ce domaine de modalités pouvant à la fois être proliférantes pour l’avenir et malgré tout limitées quant au type de productions qui peuvent être conçues, ou plutôt générées. On peut même penser qu’un style numérique est déjà perceptible, ressenti comme tel, qui a toutes les apparences de la novation mais que pourrait aussi guetter une forme d’homogénéité ressentie, laquelle procéderait justement de l’homogénéité géométrique que les variations de l’architecture dite paramétrique ne réussissent pas dans tous les cas à estomper, sauf si d’autres échelles architecturologiques travaillent implicitement la conception. Echelle de niveaux de conception, échelle de voisinage Devant une méta échelle globale instanciée par une échelle géométrique – une hypothèse de caractérisation de la conception architecturale numérique – l’échelle de niveau de conception, qui en est l’opposée, pourrait constituer un sous-programme non moins important pour la conception numérique que la géométrie architecturale »[1]. Découpant l’homogénéité dont il a été question de quelque manière que ce soit, elle entraîne, par nécessité d’une certaine façon, le concept d’échelle de voisinage qui relie les parties découpées. Celle-ci peut alors être posée comme un programme à envisager pour la recherche en conception architecturale numérique. Il serait possible, par exemple, de se demander comment résoudre numériquement le problème de voisinage en jeu dans le cas de la Banque Nordique d’Helsinki d’Alvar Aalto, lequel a valeur d’emblème de l’échelle de voisinage en architecturologie mais qui suppose l’articulation d’autres échelles voir mon article dans Echelles[2] . La question devrait naturellement être travaillée more geometrico. la Banque d’Helsinki Aalto arch., schéma Ph. Boudon More geometrico Si l’architecturologie procède d’un principe qui pourrait s’énoncer nul n’entre ici s’il est géomètre » attendu que la réduction de la conception architecturale à la géométrie, particulièrement favorisée par le numérique, explique les problèmes d’échelle qui sont suscités par l’omnipotence du géométrique, dans une interprétation différente ici de celle que donne Antoine Picon[3] de la crise de l’échelle qui frappe la scène de l’architecture contemporaine ». Il conviendrait cependant de travailler en architecturologie more geometrico, c’est-à-dire de façon formelle, non au sens polastique du mot forme, mais en un sens analogue à celui qu’il peut prendre en logique ou en mathématiques. Si les formes géométriques plastiques semblent commander la recherche architecturale relative à la conception numérique, ce sont les opérations formellement identifiées qui devraient intéresser une recherche architecturologique soucieuse d’une articulation entre opérations de conception architecturale et opérations de conception numérique. Nul n’entre ici s’il n’est géomètre » pourrait-on dire cette fois, en pensant que le numérique a peut-être la vertu d’exiger de la part des futurs architecturologues une rigueur … digne de la géométrie… du mathématicien plus que de celle … de l’architecte, qui n’est pas moindre mais reste d’autre nature. Échelle sémantique, échelle économique Enfin si la géométrie est bien un univers non embrayé exigeant de ce fait un embrayage par d’autres échelles architecturologiques, on peut considérer que l’échelle sémantique est naturellement amenée à jouer un rôle majeur mais par une facilité parfois excessive. Dès qu’un quelconque blob est engendré, ne suffit-il pas de le nommer chapelle » ou église » pour effectuer une jonction de pure forme entre conception numérique et conception architecturale ? Dès qu’une metaball est engendrée ne peut-on se contenter d’en faire un musée », tout simplement en déclarant que c’est un musée ? Dès qu’un pavage de Penrose s’est déployé ne peut-on en faire un pavage » justement ? ou encore un tapis, ou un parc d’exposition » ou même un plan de ville ou un aéroport, pour l’embrayer de quelque manière, mais d’abord de manière sémantique quelque peu cavalière au regard de l’Architecture ? Mais ici sans doute l’échelle économique intervient-elle en association avec l’échelle sémantique, facilitant des engendrements numériques parfois gratuits et sémantiquement superficiels, mais économiquement efficaces, au moins pour les concepteurs. Pour citer cet article Philippe Boudon, Nul n’entre ici s’il n’est géomètre » », DNArchi, 04/04/2012, [1] Pour laquelle un séminaire doit se dérouler au Centre Georges Pompidou en septembre 2012, ce qui montre assez l’actualité de la question [2] Philippe Boudon, Échelles, editions Economica, Paris, 2002. Pp. 253-271. 3] Antoine Picon, Une introduction à la culture numérique, éditions Birkhauser, Basel, 2012. P. 124. Références BOUDON Philippe, 2003, Sur l’espace architectural, Parenthèses, Marseille. EVERAERT-DESMEDT Nicole,1990, Le processus interprétatif. Introduction à la sémiotique de Ch. S. Peirce , Pierre Mardaga éditeur, Liège.

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Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre » Pour Platon, le monde s’appuie sur cinq éléments essentiels : le Feu, l’Air, l’Eau, la Terre et l’Univers. Il associe à chacun d’eux un polyèdre régulier inscriptible dans une sphère. Toutes ses

Au cours de l'ensemble de sa carrière universitaire, Bernard Durand a exploré bon nombre de domaines de l'histoire du droit l'histoire du droit administratif... Lire la suite 30,00 € Neuf Expédié sous 6 à 12 jours Livré chez vous entre le 6 septembre et le 13 septembre Au cours de l'ensemble de sa carrière universitaire, Bernard Durand a exploré bon nombre de domaines de l'histoire du droit l'histoire du droit administratif et l'histoire du droit public, l'histoire du droit privé, l'histoire du droit colonial et l'histoire du droit pénal. Parmi tous ces thèmes de recherche, le dernier paraît lui avoir tenu particulièrement à coeur. Il a, en effet, livré une étude d'ensemble sur la justice pénale et ses contours, de l'Ancien Régime au XXe siècle. Dans la République, Platon explique que la géométrie est la science qui permet d'accéder au savoir "elle a pour objet la connaissance de ce qui est toujours", "elle attire l'âme vers la vérité ; elle forme en elle cet esprit philosophique qui élève nos regards vers les choses d'en haut au lieu de les abaisser, comme on le fait, sur les choses d'ici-bas". "Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre", aurait-il même fait inscrire au seuil de l'Académie, à Athènes. Force est de constater qu'il y a, à la fois dans la science géométrique et dans ce qu'elle permet de comprendre selon Platon, le coeur de la démarche scientifique de Bernard Durand. Ses recherches dans la législation et la doctrine, tant française qu'européenne, confrontées sans cesse aux sources de la pratique judiciaire et enrichies par la littérature et la philosophie ont fourni matière à plusieurs articles réunis dans ce recueil. Ces articles, même vingt ou trente ans plus tard, n'ont rien perdu de leur intérêt ni de leur pertinence. Date de parution 01/11/2011 Editeur ISBN 978-2-910114-28-2 EAN 9782910114282 Format Grand Format Présentation Broché Nb. de pages 430 pages Poids Kg Dimensions 16,0 cm × 24,0 cm × 3,0 cm

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Quenul n’entre ici s’il n’a point l’aptitude à méditer sur les idées pures et les réalités du monde immatériel et supérieur. En ce sens, on peut affirmer sans trop se tromper, que Platon est le père du symbolisme en tant que démarche intellectuelle utilisant les formes géométriques, c’est-à-dire des symboles, pour enseigner et rendre intelligibles à l’esprit Bienvenue à Unithèque, la librairie spécialisée indépendante. Tout-en-un Auteur Georges BERGERON Michel BILLET Eric FURSTOS Collection Admis social Année 08/2022 En stock en ligne Expédié aujourd'hui L'essentiel pour l'étudiant Auteur Christine JOLY-VIARD Daniel RICHARD Année 08/2022 En stock en ligne Expédié aujourd'hui DF 1 à DF 5 Le tout-en-un Auteur Guillaume DEMONT Karolina MROZIK-DEMONT Vincent CHAUDET Jacqueline GASSIER Année 08/2022 En stock en ligne Expédié aujourd'hui Tout-en-un - Pour réussir l'écrit et l'oral - Annales 2021 incluses Auteur Sébastien DREVET Isabelle BISUTTI Marion GAUTHIER Année 08/2022 En stock en ligne Expédié aujourd'hui Tout-en-un Auteur Stéphane RULLAC Lucienne SUISSA Année 08/2022 En stock en ligne Expédié aujourd'hui Licence, Santé, CAPES - 200 fiches de cours et plus de 160 QCM corrigés Auteur Daniel BOUJARD Bruno ANSELME Christophe CULLIN Année 08/2022 En stock en ligne Expédié aujourd'hui L'essentiel pour l'étudiant Auteur Daniel RICHARD Année 08/2022 En stock en ligne Expédié à aujourd'hui Cours + Entraînement - Annales iECN de 2016 à 2021 corrigées et commentées Auteur Nathalie BOUTRY Année 08/2022 En stock en ligne Expédié aujourd'hui Auteur Patrick JOUHAUD Année 09/2022 A paraître mi Septembre Alerte dispo Expédié à dès parution Manuel de référence de l'endobiogénie clinique - Un résumé concis théorique et un guide pratique Auteur Kamyar HEDAYAT Jean-Claude LAPRAZ Ben SCHUFF Année 09/2022 A paraître début Septembre Alerte dispo expédié dès parution Les années 1960 à nos jours Auteur Pierre FEISS Editeur NOUVELLES_SOURCES Année 09/2022 A paraître mi Septembre Alerte dispo Expédié à dès parution Tout-en-un Auteur Olivier DAUTEL Alix HELME-GUIZON Françoise SAINTPIERRE Marianne ALGRAIN PITAVY Année 09/2022 Auteur Chakib BENNANI-SMIRES Collection Imagerie médicale précis Année 09/2022 A paraître mi Septembre Alerte dispo Expédié à dès parution Ethique et pratique Auteur Joseph ROUZEL Année 09/2022 A paraître début Septembre Alerte dispo Expédié à dès parution Auteur Christophe PRUDHOMME Année 09/2022 Localisation des points et techniques d'insertion Auteur Claudia FOCKS Ulrich MARZ Année 09/2022 A paraître mi Septembre Alerte dispo Expédié à dès parution Fiches de lecture Ce livre se distingue clairement de ses concurrents » Par Antoine TOMYS Date 22/03/2018 Profil Radiologue Fiches de lecture Il a le mérite de traiter des pathologies avancées » qui ne sont pas toujours abordées dans d’autres livres » Par Antoine TOMYS Date 22/03/2018 Profil Radiologue
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Écrit par Antarès Mesurer, comparer pour choisir et décider ? Deux chemins ! 1Humaniste et politique 2 Symbolique et initiatique Néanmoins un seul objectif Construire le Temple de l’Humanité Contribution n° 1 ... du DEVOIR opératif »fermé... au DEVOIR spéculatif » libéral. Nul n’entre ici s’il n’est géomètre » … … dictait Platon… au fronton de son Académie… … 380 ans avant notre ère ! Mesurer, comparer pour choisir et décider… … fondent ce qu’il appelait l’esprit de géométrie ». Lui-même en usait Ne choisir que de jeunes élites de ce bois… … dont Aristote… … pour les conduire aux plus hautes fonctions dans la Cité… …telle était sa ligne de conduite. Puis Euclide vint, et le premier en Grèce Enseigna l’art du géomètre Environ 300 ans avant notre ère. Il nous laisse des livres importants… … sur la géométrie plane… tels ses Eléments » … qu’il nomme de la règle et du compas » évidemment. Il surgit en 1390… en maçonnerie… … par l’intermédiaire d’un poème manuscrit… … LE REGIUS… … lequel encore nous guide… … de par les STATUTS DE L’ART DE GÉOMÉTRIE SELON EUCLIDE…. Le Régius ? C’est l’histoire de grands seigneurs et de grandes dames… …qui avaient beaucoup d'enfants… … pour lesquels ils voulaient de bons métiers... … contraignants en DEVOIRS … …envers leurs compagnons, le seigneur, le maitre et la vierge Marie. Ils convoquèrent, ce pourquoi, les plus savants des clercs… … dont Euclide… … afin de créer le métier de maçonnerie… … de par la science de géométrie. EXTRAITS Ce grand clerc, Euclide, ordonna A celui qui était plus élevé dans ce degré, Qu'il devait enseigner les plus simples d'esprit Pour être parfait en cet honnête métier; Et ainsi ils doivent s'instruire l'un l'autre, Et s'aimer ensemble… comme sœur et frère. Il ordonna encore que Maître doit-il être appelé; Afin qu'il soit le plus honoré, Mais jamais maçons ne doivent appeler un autre, Ni sujet ni serviteur… mon cher frère… … Même s'il est moins parfait qu'un autre; Chacun appellera les autres… compagnons, par amitié. Euclide enseigna le métier de géométrie. Il fonda les sept sciences; Grammaire est la première, je le sais, Dialectique la seconde, je m'en félicite, Rhétorique la troisième sans conteste, Musique la quatrième, je vous le dis, Astronomie est la cinquième, par ma barbe, Arithmétique la sixième, sans aucun doute, Géométrie la septième, clôt la liste, Car elle est humble et courtoise. En vérité, la grammaire est la racine, Chacun l'apprend par le livre; Mais l'art dépasse ce niveau, Comme le fruit de l'arbre vaut plus que la racine; La Rhétorique mesure un langage soigné, Et la Musique est un chant suave; L'Astronomie dénombre, mon cher frère ; L'Arithmétique montre qu'une chose est égale à une autre, La Géométrie est la septième science, Qui distingue le vrai du faux, Fin de citation Mes FF et mes SS… A cette époque, le catholicisme romain cannibalise la maçonnerie opérative Impossible d’y échapper ! C’est l’esprit de l'époque… … le Zeitgeist philosophique allemand… qui signifie l’esprit du temps »… … c’est-à-dire le climat intellectuel et culturel… … les jugements et habitudes de pensée… … que la vulgate temporelle et spirituelle impose à tous et partout. Le conte-poème Régius participe évidemment de ce système culturel carcéral… … en fixant les DEVOIRS aussi bien intimes que publics de chacun… Exemples Celui qui voudrait connaître ce métier et l'embrasser, doit bien aimer Dieu et la sainte église et son maître aussi. Un maçon qui connaît bien son métier, Qui voit son compagnon tailler une pierre, Et qu'il est sur le point d'abîmer cette pierre, Reprends-la lui aussitôt si tu le peux, Et montre-lui comment la corriger, Avec de douces paroles nourris son amitié Tu ne coucheras pas avec la femme de ton maître, Ni de ton compagnon, en aucune manière, Sous peine d'encourir le mépris du métier; Ni avec la concubine de ton compagnon, Pas plus que tu ne voudrais qu'il couche avec la tienne. Cela dit, peu à peu, le métier de maçonnerie… … va conférer à la science de géométrie… …un statut de système de référence… … comme étant une science à part… … reliant l’idée à l’objet… … le raisonnement à la forme… … ce qui, par extension désignera toutes les démarches intellectuelles, morales et spirituelles… …et ouvrira ainsi la voie à notre maçonnerie spéculative ! … Ainsi mes FF et mes SS… …le maçon opératif, tel le géomètre, doit-il savoir mesurer et comparer pour exécuter son plan de travail et toucher son salaire… … le nez dans le guidon… car pas question d’édification philosophique d’un Temple de l’humanité, voué à la concorde et la justice… ... fruit de la lente maturation alchimique, culturelle et humaniste qu’est l’initiation maçonnique. Il lui manque encore en effet le plus important… … ce subtil alchimique enchantement surréaliste de chercheur d’or … Car enfin… … s’il suffisait de se constituer de vérités… …bien propres sur elles… … gazouillantes d’obéissances bien-pensantes… … admirablement taillées… … alignées et superposées à l’identique entre elles ?... … tel le mur de Berlin ? … Au bout du bout… ce Temple de l’Humanité… … soi-disant pur et sans taches… … symboliserait une société figée … … d’où Dionysos aurait été évincé… … le désir castré… … dans la parfaite harmonie de l’uniformité… … d’où nait l’ennui… et le totalitarisme… … dont celui du transhumanisme… aujourd’hui ! Quant à nous mes FF et mes SS… …notre ailleurs est autre ! Chacun s’initie soi-même… …. en cheminant cahin-caha… … ici et là… où le pousse ses angoisses métaphysiques. Il se construit ainsi… … d’autres aussi… … formant un tout… … à limage de ces longs murs de pierres sauvages… … zébrant nos prairies montagnardes… … ou bordant nos chemins vicinaux… … création d’imaginations fécondes… … adossées à de savoir-faire immémoriaux… … de force, sagesse et beauté… … et non de Raison pure… Car l’apriori, le Zeitgeist, le choc émotionnel fondent le désir… … celui du compagnon… … qui vaque par la tangente… … à la recherche de l’or du Temps… … Kant, Lautréamont, André Breton dans l’havre-sac… … et Pascal… Il ne faut pas dormir ! » Alors, l’esprit de géométrie… spéculatif ? Certes… nul n’entre ici s’il n’est géomètre… … mais… nul n’y reste s’il n’est que géomètre ! … car, sur le Forum… dans la Cité la polis d’Aristote… …au franc-maçon, animal politique … … Comme tout être humain !… …s’impose le DEVOIR de PAROLE… …pour distiller au dehors… …l’esprit de géométrie… … mûri au-dedans ! Contribution n°2 L’Académie de Platon, était un lieu de formation spirituelle de l’homme La tradition philosophique qui affirme que Platon écrivit cette phrase Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre » au fronton de son Académie », n’insiste pas assez sur l’idée que se faisait ce célèbre philosophe du mot géométrie ». Le sens du mot géométrie » employé par Platon n’est évidemment plus tout à fait le même après 2500 ans. En tant que science et art », le but de la géométrie de Platon, était de tracer les figures, de relier les lignes, de mesurer les distances et concevoir les formes idéales. Il est donc évident que la géométrie dont parle Platon n’est pas ce chapitre du cours de mathématiques enseigné à notre époque au collège. Il s’agit d’une science sacrée celle des idées et des formes ». Les idées pures » sont des essences divines existant éternellement dans le monde céleste, tandis que les formes » sont les corps visibles de notre monde matériel. Chaque objet de notre bas-monde, pensaient Socrate et Platon, sont les représentations imparfaites des idées pures et parfaites qui existent éternellement dans le monde spirituel. Elles s’incarnent et prennent corps sous les multiples formes des objets cosmiques et terrestres visibles du monde sensible et matériel. Toutes choses du monde sensible sont des formes, sortes de figures géométriques tracées par la main des dieux et destinées à être les réceptacles de leurs idées pures » et des archétypes » célestes. Telle était la doctrine qu’enseignait Platon, et avant lui, son Maître Socrate. Ancêtre de la géométrie moderne, la géométrie de Platon était donc exclusivement une science spirituelle dont la finalité n’était pas de former les étudiants à l’esprit mathématique, ni aux méthodes de mesures quantitatives, mais plutôt à ouvrir leurs intuitions à l’appréhension des réalités spirituelles et à leur rendre intelligibles les lois de la création métaphysique du cosmos et la terre, ces espaces où se déploient les formes », c’est-à-dire, les corps physiques de notre bas-monde. L’Académie de Platon était par conséquent une école initiatique, un lieu de formation de l’esprit humain à la compréhension des relations existant entre le monde supérieur des archétypes et le monde inférieur terrestre des objets matériels accessibles aux sens. Cette formation conférait aux étudiants l’aptitude mentale et psychique permettant à l’esprit humain de passer du monde matériel des pensées imparfaites découlant des Sens », à celui des pensées pures et parfaites capables de s’élever aux Arts » et aux Sciences » célestes, tels les prisonniers de la Caverne de Socrate qui, une fois libérés de l’illusion des sens, parviennent à voir la lumière du soleil et donc à distinguer la vraie réalité » des choses. En ce sens, Platon ne faisait qu’institutionnaliser le système informel de la formation intellectuelle et spirituelle lancée par son Maitre Socrate. C’est en Egypte, dans les Temples de Thèbes, grande métropole religieuse, que semble-t-il, Platon avait pris conscience de l’importance de l’esprit de géométrie » comme préalable à toute formation initiatique. En effet, la construction des pyramides, avant d’être un art de bâtisseurs de monuments, était d’abord une œuvre de géométrie, c’est-à-dire, une œuvre de la pensée. Tout comme l’entrée dans le Temple n’est permise qu’aux initiés, l’entrée dans l’Académie de Platon n’est accessible qu’à ceux qui ont l’esprit de géométrie » selon le mot de Blaise Pascal, qui semble avoir bien compris la véritable intention de Platon. Que nul n’entre ici s’il n’a point l’aptitude à réfléchir on dit aujourd’hui dans les loges maçonniques Que nul n’entre ici s’il n’a point l’aptitude à méditer. N’exige-t-on pas du profane qui se destine à l’initiation, de passer d’abord par le Cabinet de Réflexion pour prouver son esprit de géométrie » ? Que nul n’entre ici s’il n’a point l’aptitude à méditer sur les idées pures et les réalités du monde immatériel et supérieur. En ce sens, on peut affirmer sans trop se tromper, que Platon est le père du symbolisme en tant que démarche intellectuelle utilisant les formes géométriques, c’est-à-dire des symboles, pour enseigner et rendre intelligibles à l’esprit humain, les idées archétypales et les phénomènes du monde invisible. La formule de Platon est donc avant tout, une devise, un critère de sélection et non pas un précepte discriminatoire, elle résonne à la fois comme une invitation à ceux qui veulent s’élever à la connaissance des idées pures, et comme un avertissement nécessaire aux étudiants inaptes à l’initiation, afin qu’ils ne viennent pas perdre leur temps à l’Académie. Le Grand Architecte de l’Univers est aussi le Grand Géomètre Quelques siècles après Platon, les gnostiques iront plus loin en parlant de géométrie sacrée » et en désignant Dieu le créateur des cieux et de la terre par l’attribut de Grand Géomètre ». Tout comme Platon, les gnostiques avaient aussi créé des Ecoles initiatiques dans la même intention et logique de pensée que l’illustre philosophe grec. C’est à peu près à cette époque qu’apparait l’expression Grand Architecte de l’Univers » entendue comme un synonyme du mot Grand Géomètre », comme le rappelle Blaise Pascal qui désignait explicitement Dieu par ce terme, ou comme Voltaire qui appellait Dieu l’éternel Géomètre ». Tout architecte est d’abord un excellent géomètre, cela va sans dire. En effet, le plan d’une cathédrale, comme le plan de toute œuvre d’architecture est un ensemble de formes ou de figures, conçus dans l’esprit de l’architecte, et qui par le travail » ou Art de la construction », se matérialisera en monument physique. De même, si l’Homme est le symbole d’une forme appelée corps humain », sa création en tant qu’être humain a suivi exactement le même processus dans l’Esprit du Grand Architecte de l’Univers. Reprenant cette conception des mystères de la création, les Hermétistes, les Alchimistes et les Kabbalistes, développeront tour à tour, leurs enseignements initiatiques en partant du principe qu’il existe une analogie entre les puissances créatrices du Géomètre Homme et celles du Grand Géomètre. Au-delà de leurs différences, ces écoles enseignaient que le Grand Architecte est une Lumière, une Energie cosmique qui investit les formes humaines, animales, végétales et animait toute forme visible, tout comme Socrate et Platon enseignaient que les idées pures descendaient du monde des archétypes pour devenir des pensées intelligibles dans l’intellect humain, ou sublimer les formes matérielles du monde sensible. Leur doctrine centrale tourne autour d’une même idée l’Homme est capable de déployer l’Art de manier la Règle, l’Equerre et le Compas confère l’aptitude mentale et psychique les pouvoirs divins à la base de la création des cieux et de la terre ces outils maniés dans un esprit géométrique approprié permettent de tracer » des formes géométriques mentales harmonieuses et capables de capturer les énergies spirituelles les idées pures éparses dans l’univers, de les rassembler et de les unir dans cette forme, autrement dit, de lui donner vie, force et puissance. C’est en cela que la géométrie de Platon est une science initiatique. Sans doute qu’en privilégiant l’expression Grand Architecte », les écoles gnostiques ont voulu mettre en exergue la fonction de constructeur du Géomètre divin, dès lors que leur enseignement ésotérique, originaire d’Egypte, plaçait le symbolisme de la construction du temple humain et du temple céleste au cœur de la transmission initiatique. L’initié gnostique est à même de créer des formes mentales selon les lois de l’art de la construction géométrique. C’est en cela que la symbolique maçonnique démontre clairement que la Franc-Maçonnerie moderne est l’héritière des anciennes écoles gnostiques, mais aussi l’héritière de Platon, le père du symbolisme géométrique. Le Franc-Maçon est aussi un géomètre et un constructeur de temple Être géomètre », c’est savoir manier l’Equerre, le Compas et la Règle. Ces instruments, notamment, l’Equerre et le Compas, sont essentiellement les outils immatériels de la géométrie sacrée enseignée dans toutes les écoles d’initiation depuis Platon. Sans le savoir, les Francs-Maçons sont les élèves de Platon. La géométrie est le nom par lequel Platon désignait le travail maçonnique » que le Franc-Maçon est appelé à pratiquer sur son âme, son intellect, sa personnalité, afin de construire son temple intérieur, ce Réceptacle de la Lumière qui luit à l’Orient de la loge. Cette construction ne peut se faire de manière juste et parfaite que si elle suit rigoureusement les règles de l’art maçonnique transmise secrètement à travers nos rituels initiatiques. Ce thème est au cœur de l’initiation du Compagnon Franc-Maçon. Les ancêtres Grecs et les gnostiques connaissaient donc le symbolisme de la Règle, de l’Equerre et du Compas autant ces instruments permettent de concevoir un plan de construction, de tracer harmonieusement les formes ou de mesurer, autant ils servent de support méditatif pour deviner et comprendre les mystères de l’âme, et les mystères de la construction des cieux et de la terre, notamment, le monde céleste du soleil de la lune et des astres, ainsi que le monde invisible des archétypes ou idées pures issues de la pensée créatrice des dieux. La Franc-maçonnerie spéculative remonterait-elle donc à Platon ? Vraisemblablement, oui tout ce qui vient d’être dit le prouve. Le Maçon spéculatif, c’est le Maçon de l’intellect, qui construit par sa pensée et ses qualités morales, des formes mentales selon la Science de la géométrie et l’Art de la construction, afin de construire son propre temple et celui de l’humanité, en s’inspirant des proportions pures et parfaites » du Temple céleste, conçu par le Grand Architecte de l’Univers. L’Equerre, le Compas, le Maillet ou la Truelle, la Pierre Brute, en un mot, tous les outils de la maçonnerie spéculative, sont immatérielles et relèvent essentiellement de l’art de la construction spirituelle. Une planche » maçonnique est appelée morceau d’architecture », pour signifier que l’œuvre de construction à laquelle se livre le Franc-Maçon est une œuvre intellectuelle, mentale voire psychique. C’est en cela que le Franc-Maçon est un Géomètre. C’est précisément et uniquement de cette géométrie-là que se réfère la fameuse phrase de Platon, celle qui est un Art » de la pensée, qui élève l’esprit à la compréhension des lois métaphysiques qui régissent les rapports entre l’Homme et l’univers.
\n \n\nque nul n entre ici s il n est geometre
Cest aussi un grand mathématicien qui voit les mathématiques comme la logique de l’esprit. Il a fondé l’Académie de Platon, dont la devise aurait été « Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre ». Selon Platon, le monde se fonde sur 5 éléments l’eau, la terre, le feu, l’air et l’éther (l’univers). Il ne peut donc Forums des Zéros Une question ? Pas de panique, on va vous aider ! Accueil > Forum > Communauté des Zéros > Discussions générales > Sujet de philosophie Liste des forums "Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre" ^^ Anonyme 12 décembre 2006 à 213435 Bonsoir tout le monde, Par curiosité et par la même occasion pour me donner des idées, je vous propose mon sujet de dissertation philosophique, histoire de voir un peu la culture de nos chers Zér0s. Citation Mon profLa croyance religieuse implique-t-elle nécessairement une démission de la raison ? Voilà, bonne réflexion ! 12 décembre 2006 à 213900 Moi je prendrais les choses d'un point de vue scientifique, et d'un point de vue non scientifique. D'un point de vue scientifique, être croyant c'est justifier des choses non justifiées jusqu'à présent par la Science autrefois, les hommes pensaient que lors d'une eruption volcanique, il fallait apaiser les dieux. Maintenant d'un point de vue non scientifique, croire c'est se ressourcer avec plus fort que soi, et réfléchir à divers thèmes. Je te laisse développer ++ PS J'ai 8 en philo 12 décembre 2006 à 214818 moi je ne dit l'inverses car dans notre société actuel ne croire à rien ce la peut mener à terme à perdre la raison 12 décembre 2006 à 220546 Je nuancerais la proposition de Deefer, en distingant le mythe explicatif, l'hypothèse ascientifique et la morale. de la plus grande démission de la raison à sa plus grande utilisation mythe explicatif il y a des éclairs, ça vient de la colère des dieux. La religion répond à la question "comment ?" et bien entendu est souvent à côté de la plaque. hypothèse ascientifique par exellence l'existence ou non de Dieu. Le fait que Dieu existe ne peut pas, à mon sens, être prouvé, comme on ne peut démontrer sa non existence. C'est donc une conviction, qui peut certes se baser sur des réflexions, mais donc l'origine restera floue. Enfin, sur la morale, la croyance religieuse en ce domaine se déduit souvent des hypothèses de départ la vie est un don de Dieu, donc tuer c'est mal. Voila, et n'oublie pas que la philosophie, c'est avant tout une réflexion PERSONNELLE Anonyme 12 décembre 2006 à 221841 Deefer ==> pas mal, j'y avais pensé déjà mais pas de cette façon là. Léna ==> Je sais que c'est une réflexion personnelle, mais je te répondrais, à la manière de Socrate qu'est ce que quelque chose de personnel? Sinon, pas mal aussi comme raisonnnement, mais je préfère un plan en deux parties... enfin je dis toujours ça mais en fait j'arrive toujours à rajouter une partie juste avant de copier au propre Edit Alexises, j'avais précisé que ceux qui n'étaient pas géomètre ne devaient pas entrer, et donc encore moins poster, surtout si c'est pour répondre en une phrase à un sujet de dissert... moi, méchant? 12 décembre 2006 à 222514 je m'excuse je n'ai jamais fait de dissertation Anonyme 12 décembre 2006 à 222833 Mais ne t'excuse pas On t'en veut pas 12 décembre 2006 à 223308 démission de la raison, forcément "Croire", par définition n'est pas un comportement rationnnel, c'est penser que quelque chose se passe de telle manière, et ce sans aucun fondement tangible. En gros la réponse à ta question est triviale, désolé xD ;p Anonyme 12 décembre 2006 à 223942 Citation Swingdémission de la raison, forcément "Croire", par définition n'est pas un comportement rationnnel, c'est penser que quelque chose se passe de telle manière, et ce sans aucun fondement tangible. En gros la réponse à ta question est triviale, désolé xD ;p Oh que non, croire n'est pas forcément irrationnel du tout, cela permet d'imaginer comment est constitué quelque chose que l'on ne sait pas expliquer scientifiquement pour l'instant... De donner une solution possible à une équation... Sans pour autant que cette solution soit totalement dénuée de sens... 12 décembre 2006 à 224519 qui parle de solution dénuée de sens ? je n'ai pas été aussi loin dans ce que j'ai dit ^p Imagine le scientifique qui pense avoir une théorie. Même si il se base quand même sur quelques infimes observations physiques, il ne possède aucun fondement réel. Mais il a l'intuition que ça va marcher. La croyance que ça va le faire. Il le sent, le bougre ! Il va donc mettre en oeuvre ses compétences de scientifique pour apporter des preuves concrètes à sa croyance, ou théorie, ou hypothèse, c'est comme tu veux Maintenant, même pas la peine d'aller aussi loin. Restons-en à la définition stricte du mot "croire" enfin, j'ai pas été voir au dico mais bon xD et tout ira très bien ! 12 décembre 2006 à 231749 Swing > tu traites de sujet de manière hyper-restrictive. Apparemment sans t'en rendre compte tu prends des cas particuliers... alors bon / Quelques pistes qui me viennent en tête Croire en un Dieu créateur de l'Univers, est-ce une démission de la raison ? Un dieu créateur n'est-il pas l'hypothèse la plus simple ? Est-il plus incroyable de croire à un univers créé par une entité supérieur qu'à un univers créé autrement ? + étendre ça aux questions métaphysiques en général la question de la mort, par exemple. Autre chose La science est-elle infaillible ? Pascal étai très pieux et croyait aux miracles. La science peut-elle vraiment tout expliquer ? Donner l'exemple des miracles Lourdes, etc.. Est-ce à cause de l'avancement actuel de la science qu'on ne peut pas tout expliquer, ou est-ce dans sa nature ? Aussi, dans le même thème, on a exclut au 19e siècle un univers déterministe = si on peut tout dire de l'univers à un moment T, on peut prédire totalement son évolution par les bases de la physique quantique. Et enfin, cas le plus simple téléscopage entre la science et les croyances. Contredire une thèse scientifique en se basant sur sa foi peut-être considéré pour une démission de la raison. Exemples géocentrisme/héliocentrisme, créationnisme/évolutionnisme. Mais aussi... ne pas jurer que par la raison y'a une citation connue sur ça, croire est aussi plus... "beau". Ne pas tomber dans la "froideur scientifique". Voilà voilà, juste quelques idées 12 décembre 2006 à 233439 Elentar > cas particulier cas particulier, mais que veux-tu ? C'est un exemple donc forcément il s'agit d'un cas particulier ^p En fait j'ai plutôt rabâché mon cours de religion de l'année passée, en dernier hommage puisque je n'en aurai plus Ce sujet est l'éternel combat SCIENCE VS FOI, et la réponse, tout aussi éternelle est SCIENCE = COMMENT, FOI = POURQUOI des domaines d'investigations totalement différents, en parallèle le but est le même la réussite de l'homme, mais différents. Je reprends ta première piste Elentar "dieu créateur". Qualifier Dieu de créateur consiste à mettre Science et foi en confrontation directe, alors que par nature, elles n'ont pas à l'être. C'est à la science d'expliquer comment l'univers "est apparu", et la foi n'a pas à venir fouiner. Je ne sais pas si je suis très clair mais bon .. Alala, ça me manque toutes ces réflexions relaxantes qu'on avait en classe. Sur ce, jdois y aller, y a le Wronskien et son pote Lagrange qui m'attendent / 12 décembre 2006 à 233800 Citation ElentarSwing > tu traites de sujet de manière hyper-restrictive. Apparemment sans t'en rendre compte tu prends des cas particuliers... alors bon / Quelques pistes qui me viennent en tête Croire en un Dieu créateur de l'Univers, est-ce une démission de la raison ? Un dieu créateur n'est-il pas l'hypothèse la plus simple ? Est-il plus incroyable de croire à un univers créé par une entité supérieur qu'à un univers créé autrement ? + étendre ça aux questions métaphysiques en général la question de la mort, par exemple. Autre chose La science est-elle infaillible ? Pascal étai très pieux et croyait aux miracles. La science peut-elle vraiment tout expliquer ? Donner l'exemple des miracles Lourdes, etc.. Est-ce à cause de l'avancement actuel de la science qu'on ne peut pas tout expliquer, ou est-ce dans sa nature ? Aussi, dans le même thème, on a exclut au 19e siècle un univers déterministe = si on peut tout dire de l'univers à un moment T, on peut prédire totalement son évolution par les bases de la physique quantique. Et enfin, cas le plus simple téléscopage entre la science et les croyances. Contredire une thèse scientifique en se basant sur sa foi peut-être considéré pour une démission de la raison. Exemples géocentrisme/héliocentrisme, créationnisme/évolutionnisme. Mais aussi... ne pas jurer que par la raison y'a une citation connue sur ça, croire est aussi plus... "beau". Ne pas tomber dans la "froideur scientifique". Voilà voilà, juste quelques idées L'homme qui a eu 20 au bac a parlé. Perso j'ai rien compris. 13 décembre 2006 à 00945 MediaDico Croire Tenir pour vrai démission Acte par lequel on renonce à une fonction, à une dignité raison Faculté par laquelle l'homme connait et juge C'est simple Croire tout ce que les scientifiquesexemple disent, est-ce une démission de la raison? Qui s'intéresse au démonstrations de formules mathématiques en classe? moi exclut Qui a tenté une expérience pour voir si les électrons existent vraiment? Le type qui te parle de comment Dieu a crée l'univers te dit sans hésiter à quel point c'est évident et logique, que Dieu est la seule solution possible, et d'ailleurs, c'est vrai. Ton argument du singe est laid parce que c'est laid et con et que ça marche pas. Dans des pays laïque, les croyants on l'occasion d'entendre des arguments qui remettent en doute leur religion. Leur réflexions qui en découlent leur mènent encore à penser que leur religion dit le vrai. Ensuite, peut importe ce que tu pense de leur arguments, leur idées on été pensée et ils ont jugé que c'était vrai au même titre que tu a jugé que ce que te disait le scientifiqueou peu importe était vrai. Voilà Bon, me reste plus qu'à dire le contraire 13 décembre 2006 à 01538 Swing > en fait, je n'étais pas d'accord à la base, pas sur ton exemple. Citationdémission de la raison, forcément "Croire", par définition n'est pas un comportement rationnnel, c'est penser que quelque chose se passe de telle manière, et ce sans aucun fondement tangible. En gros la réponse à ta question est triviale, désolé xD ;p Croire n'est pas forcément irrationnel. On peut avoir de très bonnes raisons de croire en quelque chose. Croire en quelque chose car il semblerait plus incroyable de croire le contraire, n'est-ce pas une raison très rationnelle de croire en quelque chose ? désolé, je sais pas formuler ça autrement. Et ça, ce n'est pas juste une "intuition" ou quelque chose comme ça si tant est qu'une intuition est réellement totalement irrationnelle...? En ce qui concerne le "Dieu créateur", je me suis peut-être mal exprimé. Je parlais de "Dieu créateur" dans le contexte du problème pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? La science n'a pas son mot à dire sur la raison de l'origine de l'univers. Ou du tout moins, si des scientifiques échafaudent des théories, elle ne vaudront pas mieux que celles des théologiens ou autre. Par contre je suis bien d'accord avec le "science = comment, foi = pourquoi", ça résume bien ça, et en effet je pense aussi que la foi et la science n'ont pas à se marcher sur les pieds même si elles l'ont fait malheureusement beaucoup, cf. le dernier paragraphe de ce que j'ai dit plus haut. Et même si aussi, il ne faut pas tomber dans la bête vision de l'affrontement science vs religion, sans le concept de Dieu la science ne serait rien. Par contre "c'est à la science d'expliquer comment l'univers est apparu"... ça dépend du sens que l'on donne au "comment" Oui, c'est à la science d'expliquer de quelle façon s'est déroulée l'apparition de l'univers si l'on suppose qu'il a eu un début, mais ce n'est pas à la science d'expliquer comment il est apparu... parce que la science doit pouvoir confronter les théories à l'observation ou à l'expérimentation. Et aussi mathématiquement belles soient-elles, ces théories ne sont pas de la science tant qu'elles resteront de l'abstraction. Et comme c'est impossible, la science ne pourra jamais résoudre ce "comment" là... à partir de là, tout est permis. "Dieu a jeté une patate dans l'eau et pouf, ça a créé l'univers" et "le choc d'une brane et d'une anti-brane a créé l'univers" c'est exactement au même niveau, et aucun n'est plus une "démission de la raison" que l'autre pour les raisons données plus haut DeefeR > ... Anonyme 13 décembre 2006 à 111727 Ok, ok, pas mal d'idées... Je note tout ça sur mon brouillon ! Sujet de philosophie × Après avoir cliqué sur "Répondre" vous serez invité à vous connecter pour que votre message soit publié. × Attention, ce sujet est très ancien. Le déterrer n'est pas forcément approprié. Nous te conseillons de créer un nouveau sujet pour poser ta question.
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Sujet Re: Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre pour Quire Lun 8 Mai - 22:24 tu citais Platon au début mais au temps de Platon les mathématiques étaient essentiellement représenté par la géométrie, la plus empirique des branches des mathématique, il ne s'agissait donc pas à l'époque de théoriciens des mathématique que Platon invitaient à entrer [1984] Création de la société Géomètres associés NEY & HURNI SA voit le jour en 1984 déjà, créée par deux jeunes ingénieurs géomètres, MM. Claude Eric Ney Géomètre breveté et Urs Hurni ingénieur géomètre. Rapidement, ils développent des activités géométriques de qualité et réalisent des premiers relevés Hermance, Anières, Russin, Avully, du montage de plans d'ensemble ou la mise en place de réseaux modernes de PFP Point fixe planimétrique. De grands chantiers viennent également et rapidement compléter l'activité. Développement réjouissant Notre société vit un développement réjouissant avec un plus » pour la technologie et le développement informatique ; véritable passion de M. Claude Eric oeuvre de pionnier déjà, de nombreux applicatifs dans le domaine de traitement des données topométriques, la création d'un logiciel de CAO pour le calcul et l'optimisation des axes routiers sont aux compétences techniques et humaines et à sa palette de prestations diversifiées, la société maintient un développement soutenu de ses activités. Animés par une culture qui valorise l’expertise et l’esprit de coopération, nos collaborateurs qualifiés sont portés par la même ambition servir avec précision et réactivité. [2012] Consolidation malgré le déchirement L'année 2012 est assurément une année noire pour notre société. M. Claude Eric Ney, fondateur et associé, disparaît après une terrible épreuve physique. Cette "infidélité tragique" est vécu avec peine par l'ensemble du personnel, mais est surmontée avec vaillance. M. Urs Hurni réussit sa mission et maintient, puis consolide l'entreprise. [2018] Transmission A l'été 2018, MM. Urs Hurni, Jean-François Rolle et Frédéric Schenk tous deux géomètres brevetés s'accordent pour une reprise et une pérennisation de l'entreprise. La philosophie et l'implication de M. Hurni se retrouvent dans l’enthousiasme des repreneurs. De nouvelles technologies sont introduites, de nouvelles offres de service proposées mais l'esprit de "Ney & Hurni" demeure et reste notre fil rouge. Géomètres associés NEY & HURNI SA fournit services et solutions à ses clients, avec une équipe renforcée et plus que jamais basée à Genève. Les nouveaux propriétaires sont heureux de pouvoir compter sur la présence de M. Hurni, et de l'engagement de toute l'équipe. Ils se réjouissent de toujours conseiller et servir. Perspectives d'avenir Le rôle du géomètre reste essentiel, car la profession a besoin d’un garant de la qualité des relevés, quelque soit la technique de mesure donc la valeur des livrables qui doit être revue à la hausse pour justifier un rapport qualité/prix solutions à cela - Augmenter la quantité et améliorer la précision des informations produites et livrées plans plus exhaustifs et détaillés, - Créer de nouveaux livrables et accompagner les clients dans leur utilisation les nuages de points par exemple, - Développer des expériences utilisateurs valorisantes modèles 3D collaboratifs, services en ligne, visites immersives, monde de la topographie a beaucoup à gagner des techniques de numérisation 3D. [2021] REvolution numérique A l'été 2021, M. Jean-François Rolle devient seul propriétaire. La transition numérique et le développement réjouissant de notre entreprise imposent une attention exclusive ! M1lFTU. 197 290 226 492 187 45 235 319 100

que nul n entre ici s il n est geometre