Ilexiste plein de manières de pratiquer l’équifeel, dont voici quelques idées : Faire passer votre cheval sur une bâche. Le caresser avec un objet « effrayant » comme un drapeau ou un sac plastique. Pulvériser un spray à côté de lui ou ouvrir un parapluie. Mettre de la musique et observer ses réactions.
Comprendre et mémoriser le fer à cheval, un outil visuel pour retenir des informations chronologiques Faire un schéma pour représenter des étapes chronologiques pourquoi ? Certaines informations ont des liens séquentiels elles se structurent les unes par rapport aux autres selon un ordre précis, souvent chronologique. Les textes qui composent les recettes de cuisine, les histoires livres, films…, les récits historiques ou encore les modes d’emploi suivent ce modèle. Il y a un début, un milieu et une fin. Si on invertit les étapes, le texte perd son sens. Il est alors efficace de représenter visuellement ces données séquentielles par un schéma. L’expérience montre que l’on ne sait pas schématiser ce que l’on ne comprend pas à 100%. – Renaud Keymeulen Faire un schéma pour représenter des étapes chronologiques comment ? Alain Thiry et Yves Lellouche proposent dans leur livre “Apprendre à apprendre avec la PNL” de dessiner le schéma visuel d’un fer à cheval pour comprendre et retenir les étapes d’une histoire. Dans ce fer à cheval, toutes les informations seront intégrées sous forme de pictogrammes. Les pictogrammes peuvent prendre plusieurs formes représentations graphiques géométriques et abstraites dessin représentatif ou symbolique par exemple, le dessin de la forme d’un pays ou plutôt son drapeau, son emblème, un animal typique, voire le dessin de la forme d’un pays colorié avec les couleurs du drapeau schéma mise en lien des représentations et/ ou dessins indice récupérateur personnel par exemple, j’ai symbolisé le nom d’une ville dans laquelle se trouve un zoo célèbre pour ses gorilles par le dessin d’un gorille On apprend par la différence plus que par la ressemblance on peut changer l’écriture majuscule/ minuscule, manuscrit/ impression, la police ou encore les couleurs de fond ou des dessins. Le fer à cheval, une image mentale puissante pour retenir des étapes chronologiques Le fer à cheval est un schéma qui convient particulièrement à la mémorisation des informations qui ont une position déterminée les unes par rapport aux Apprendre à apprendre avec la PNL de Alain Thiry éditions DE BOECK UNIVERSITE Dans la technique du fer à cheval, une vignette = une information à retenir. Cette information peut être une phrase d’un texte, un vers d’une poésie, une date dans une frise chronologique, une étape dans un récit… On dessine d’abord un fer à cheval une première vignette servira d’expliciter le contexte Par exemple, le titre d’un livre ou d’une poésie, l’auteur ou encore le nom d’une période historique l’introduction des vignettes pour présenter les éléments de départ Par exemple, les lieux, les personnages, l’époque les données de base des vignettes pour raconter les événements le déroulement une vignette pour l’idée principale à retenir la conclusion Le fer à cheval est divisé en autant de cases qu’il y a d’événements à retenir dans l’ordre. Ces événements sont schématisés par des pictogrammes les plus significatifs et mémorables. Plus un pictogramme est personnel fait référence à une anecdote personnelle, humoristique, décalé, exagéré, plus il sera Lors de l’utilisation de cet outil, il est nécessaire de déterminer s’il faut être capable de retrouver l’idée ou les mots exacts comme dans une poésie. Dans le cas d’une idée, les mots peuvent être remplacés par des synonymes et il y aura moins de cases seules les idées principales seront retenues. Dans le cas d’une poésie, on peut imaginer autant de cases que de vers. Une aide pour comprendre des étapes chronologiques A l’exposition de l’information lecture, visionnage, écoute, les enfants se font des images analogiques comme s’ils visionnaient un film. Ces images sont ce qu’ils visualisent quand ils lisent ou entendent un texte. Pour les aider à enrichir leurs images, on peut lire le texte en s’arrêtant à chaque paragraphe et en leur posant des questions qui est-ce qui a fait ça ? qu’est-ce que ce personnage a fait ? où est-il allé ? comment imagines-tu les lieux ? quelles couleurs vois-tu dans ta tête ? qu’est-ce que tu entends comme sons ? qu’est-ce que tu sens comme odeurs ? que ressens-tu comme sensations ? On demandera aux enfants de réaliser une petite bande dessinée à intégrer dans les vignettes du fer à cheval une image pour montrer le contexte les images à intégrer dans les vignettes pour présenter les données de base les images à intégrer dans les vignettes pour raconter les événements une image pour illustrer la fin de l’histoire Toutes ces images peuvent être constituées d’un schéma symbolique, figuratif ou encore textuel, d’un dessin représentatif, d’un indice récupérateur personnel, d’une symbole géométrique… Une aide pour mémoriser des étapes chronologiques On pourra guider les enfants dans la mémorisation Regarde le schéma avec toutes les images observation. Ferme les yeux en regardant en haut à gauche et continue à visualiser mentalement ton fer à cheval avec ses détails. Vois tout ce que tu as déjà dans ta tête. Ouvre les yeux, regarde ton schéma et repère les éléments que tu as oubliés. Ferme les yeux, visualise à nouveau ton schéma en regardant toujours en haut à gauche et ajoute-y les éléments manquants. – étape à refaire tant qu’il y a des étapes non mémorisées. Dès que c’est clair, prends une feuille et dessine le fer à cheval mémorisé. Revois le fer à cheval dans ta tête et vois si tu ressens que ce que tu as dessiné sonne “juste” est-ce que tu le sens ? Ouvre à nouveau les yeux et vérifie l’exactitude de ton dessin par rapport au modèle. S’il manque un détail, ajoute-le dans ton image mentale avant de le dessiner sur la feuille.
Lecheval doit connaître la révérence, la réaliser en équilibre et la tenir, sinon votre cheval ne pourra physiquement pas faire la méthode que je propose. En position de révérence vous devez décaler le poids de votre cheval sur le membre qui est un genou au sol afin de dégager le membre tendu. Il vous faudra ensuite stimuler le membre tendu comme pour demander une révérence Que vous soyez cavalier d’obstacle ou de dressage, vous vous êtes sûrement déjà demandé comment améliorer la qualité du galop de votre cheval. Cela peut se traduire par l’amélioration de l’équilibre, l’amélioration de l’amplitude, l’amélioration du rassembler… Si le galop actuel de votre cheval ne vous convient pas tout à fait et que vous cherchez des clés pour aller plus loin, voici quelques pistes de travail Les autres allures avant tout ! Vouloir améliorer le galop c’est bien, mais ce ne doit pas être une priorité avant toute chose, soyez assuré d’avoir un cheval avec un bon pas et un bon trot. C’est-à-dire des allures fluides, régulières et équilibrées, dont vous pouvez allonger ou raccourcir la foulée à la demande, sans rupture du mouvement en avant et sans changement d’attitude. Si ces deux allures ne sont pas déjà parfaitement maîtrisées, il est inutile de vouloir attaquer le galop ne brûlez pas les étapes, n’oubliez jamais que le travail d’un cheval doit se faire de manière progressive pour être efficace ! Si en revanche votre cheval a déjà un bon pas et un bon trot et que vous souhaitez simplement aller plus loin dans le travail du galop, cet article est pour vous. Les conditions sine qua non pour un bon galop Quelques conditions doivent absolument être réunies pour obtenir un bon galop. Le cheval doit en effet Être souple et équilibré ;Être musclé et notamment avoir des abdos ;Avoir envie de se porter en avant. Si toutes ces conditions ne sont pas réunies, il m’apparait très difficile d’obtenir une allure de qualité. Pour améliorer la souplesse et l’équilibre de votre cheval, privilégiez tous les exercices demandant de l’incurvation huit de chiffres, cercles de tailles variées, serpentines… ainsi que les déplacements latéraux. L’équilibre du cheval est une condition indispensable pour un galop de qualité. – © thisisamyt Les muscles vont s’acquérir petit à petit, au fur et à mesure des séances. Les dénivelés au pas sont notamment un excellent exercice pour solliciter en douceur les abdominaux du cheval tout en lui faisant travailler sa ligne du dessus ainsi que son souffle !. Le travail sur plusieurs pistes ainsi que la recherche d’une attitude basse et ronde avec un fort engagement des postérieurs sous la masse contribueront également à la musculature de l’équidé. L’envie de se porter en avant varie fortement d’un cheval à l’autre il est évidemment plus simple de répondre à cette condition lorsqu’on monte un cheval près du sang plutôt qu’un cheval froid à la jambe. Néanmoins, de nombreux exercices permettent d’améliorer la réactivité du cheval. Quelques exercices pour améliorer la qualité du galop Tous les exercices cités précédemment contribuent donc indirectement à améliorer la qualité du galop du cheval. Exercices aux trois allures Les transitions Les transitions rapprochées départ au galop, maintenir le galop quelques foulées, repasser à une allure inférieure… puis redemander un départ au galop, et ainsi de suite iront également dans ce sens. Il peut aussi s’agir de transitions au sein d’une même allure par exemple demander un galop rassemblé puis un allongement, avant de repasser à nouveau à un galop rassemblé quelques foulées plus tard. A noter que les transitions reculer-galop amélioreront tout particulièrement l’engagement de votre cheval, tout en lui demandant de faire preuve de réactivité. Les variations d’attitude Pensez également à varier les attitudes placer haut, placer bas, extension d’encolure, placer haut, placer bas, extension d’encolure… Lors d’un placer haut, le cheval est fortement rassemblé avec un équilibre très vertical, sur les hanches. A l’inverse, une extension d’encolure le positionnera plutôt dans une attitude horizontale attention à ne pas le laisser tomber sur les épaules !. Aussi, plus vous varierez les attitudes de votre cheval en conservant l’impulsion et l’équilibre et plus vous développerez “l’effet ressort” du cheval. Ses allures, y compris son galop donc, en seront fortement améliorées et il gagnera en rebond. Exercices au galop Pour améliorer l’engagement du postérieur interne et le rassembler, vous pouvez essayer de demander un départ au galop après une demi-volte ou une cession à la jambe. Enfin, autre exercice à travailler le galop à faux. Sur quelques foulées en ligne droite au début, puis de plus en plus longtemps, puis sur une courbe. Là encore, cela permettra d’améliorer l’équilibre du cheval. Et voilà ! J’ai tâché de répertorier tous les exercices que je connaissais qui influençaient plus ou moins directement sur la qualité du galop. Il en existe certainement d’autres, n’hésitez pas à les partager dans les commentaires 🙂 A noter qu’il est important de faire ce travail en selle bien sûr, mais aussi longé ou en liberté ! De même, pensez à varier les lieux de travail bosser de temps en temps en extérieur par exemple peut s’avérer très bénéfique, notamment avec les chevaux froids à la jambe ! Ces articles peuvent également vous intéresser Idée d’exercice le carré d’Andy Booth Je vous propose aujourd’hui une nouvelle idée d’exercice, à faire aussi bien en selle qu’à pied. Il s’agit du carré d’Andy Booth. Pour rappel, Andy Booth est un cavalier professionnel et enseignant d’équitation éthologique. Cet exercice fait partie de mes […] Lire la suite Idée d’exercice le trèfle à 4 feuilles ! Aujourd’hui je vous propose un exercice hyper complet, l’un de mes préférés. J’ai nommé… Le trèfle à 4 feuilles ! Après la lecture de cet article, je suis sûre que vous l’intégrerez vous aussi très vite à votre routine de […] Lire la suite

Apprendreà son cheval à donner ses pieds est un passe-temps agréable et facile. Cela n'a rien à voir avec de l'obéissance, la domination ou des ordres à voix élevée. C'est une question d'apprendre au cheval à vouloir donner son pied et de rester longtemps en équilibre sur les 3 autres. Ceci se fait simplement grâce à la récompense. Mais il faut aussi un signal,

4 participantsAuteurMessagemel3205Messages 10Date d'inscription 10/02/2012Age 27Sujet Comment s'y prendre pour apprendre la reverence? Sam 26 Jan - 1329 Je suis en train d'essayer d'apprendre a mon cheval à faire la révérence. Mais je pense qu'il a peur d'être soumi a un humain.. Il est super il écoute beaucoup mais il a était mal traiter quand il dort coucher des que je m'approche de lui il se relève il a pas assez confiance .. ! Donc je n'y arrive pas a le faire cédé et déscendre même avec une carotte ou friandisse... Comment m'y prendre? 5Date d'inscription 26/02/2013Sujet Re Comment s'y prendre pour apprendre la reverence? Jeu 28 Fév - 1617 Je pense qu'avant de lui apprendre la révérence il faudrait qu'il est totalement confiance en toi, et que même quand il est couché dans son box tu devrais pouvoir l'approcher. Pour cela je pense que tu pourrais essayé de faire un peux d'éthologie avec. Histoire qu'il comprennent que tu ne lui feras aucun ne suis pas experte mais je pense que moi c'est ce que je ferais .Bisous. MarthounetteMessages 8Date d'inscription 14/02/2013Sujet Re Comment s'y prendre pour apprendre la reverence? Lun 4 Mar - 1600 Moi je lui ai appris avec un bombon, je lui prenais un pied et je tirai en arrière doucement et je lui mettais le bombons entre les pattes avant. MarthounetteMessages 8Date d'inscription 14/02/2013Sujet Re Comment s'y prendre pour apprendre la reverence? Mar 5 Mar - 754 voici une petite illustration on voit bien que je lui donne un bombon WhispererMessages 6Date d'inscription 23/12/2013Sujet Re Comment s'y prendre pour apprendre la reverence? Dim 11 Mai - 1200 Avant de lui apprendre ce genre de tour, il faut vraiment que ton cheval ai confiance en toi !Sinon ça ne fonctionnera pas, et plus tu le forcera, plus il se braquera...Après pour l'aider à descendre facilement, apprend lui le campo d'abord Comme ça il ne se fera pas mal au dos Contenu sponsoriséSujet Re Comment s'y prendre pour apprendre la reverence? Comment s'y prendre pour apprendre la reverence?
0°0°0° Apprendre le cabrer à son cheval °0°0°0° Pour répondre à une question qu'on m'a beaucoup posé, voici comment j'ai appris à Naïade à se cabrer. A pied Ca doit maintenant faire environ un peu plus d'un an et demi que je le lui ai appris. A cette époque, cela faisait quelques mois que j'avais abandonné la méthode classique pour la méthode du Haras
Chaque fois que je parle de travailler avec un cheval sans utiliser de friandises, une même question finit par m’être posée mais alors comment le motiver ? Parfois, on me dit même directement que sans la nourriture les chevaux n’ont aucun intérêt à échanger avec nous ! Pourtant, je travaille avec les chevaux depuis plus de 10 ans et je n’ai jamais utilisé de friandises pour en motiver un seul. Je vous explique comment c’est un cheval, qu’est-ce que ça signifie ? Motiver un cheval à travailler avec nous, cela signifie simplement lui donner envie de le faire. Nous autres êtres humains avons indissociablement associé travail et pénibilité. De ce fait, nous partons du parti-pris qu’il en est de même pour le cheval. Puisque travailler lui est forcément pénible, il faut bien trouver une astuce, un truc pour lui donner envie de le faire. C’est tout simplement de l’anthropomorphisme. En effet, le cheval ignore le concept même de travail. Il ne considère absolument pas ses interactions avec nous comme une activité qui doive être rétribuée. Cette idée n’a absolument aucun sens pour lui. Avez-vous déjà vu un cheval effectuer une tâche pour un autre et obtenir de la nourriture en récompense de son effort ? Cela ne fait absolument pas partie du répertoire comportemental des chevaux. N’ont-ils pas une chance inouïe ? Ils ignorent tout du travail et des obligations !! Pour votre cheval, une interaction avec vous est donc… simplement une interaction avec pourquoi tant de gens utilisent-ils des friandises pour donner envie au cheval d’échanger avec eux ?Ils le font car la nécessité de se nourrir et de consommer des aliments riches et nourrissants est profondément inscrite dans l’inconscient de tous les animaux – nous y compris. De ce fait, la grande majorité des animaux est prête à faire tout son possible pour obtenir un aliment gras et sucré. Ce qui facilite grandement l’obtention d’un résultat. Les chevaux n’échappent pas à la règle, et de la même façon qu’un enfant apprend très vite à appuyer comme il faut sur les boutons d’un distributeur de bonbons, un cheval apprend très vite quel geste il faut faire pour faire jaillir une friandise de la poche d’un être humain. L’analogie n’est-elle pas intéressante ?Si c’est plus facile avec, pourquoi travailler avec un cheval sans friandises ?Pour une question de qualité Pour ma part, je n’ai jamais voulu qu’un cheval me confonde avec un distributeur de bonbons. D’abord, parce que cela met les chevaux dans un état de tension interne, ce qui est tout à fait néfaste pour eux, psychiquement comme physiquement. Ensuite, parce qu’alors les interactions qu’ils ont avec nous sont à mon sens tout à fait inintéressantes car elles sont automatisées et ne s’inscrivent pas dans un véritable échange énergétique. Enfin, parce qu’un cheval qui fait un geste pour obtenir une friandise le fait même s’il n’y prend pas de plaisir, et qu’il peut même faire ce geste malgré le fait qu’il lui soit douloureux ou inconfortable. Or, je considère que c’est l’exercice lui-même qui doit plaire au cheval, et non la récompense qu’il en obtient, et que l’exercice ne doit jamais lui nuire. Et c’est là un premier élément de réponse à la question posée dans le titre de cet article. Je privilégie la qualité à la quantité. Pour s’adapter au cheval plutôt que lui s’adapte au cavalierSi un cheval n’est pas motivé par le travail que vous lui demandez, c’est qu’il n’y prend pas plaisir. Ce que vous lui proposez ne lui plait pas. Il vous faut comprendre pourquoi et déterminer ce que vous pouvez modifier pour que l’exercice lui apporte du donné que le cheval ne comprend pas le concept du travail, vous devez vous-même voir les choses différemment. A vous de vous adapter à sa conception des choses. Vous allez donc non pas le travailler mais passer un moment avec lui et communiquer avec lui. Vous verrez que le simple fait de changer la façon dont vous considérez les choses induit aussitôt un changement subtil en vous ainsi qu’en votre cheval. Les moment que vous passez ensemble doivent vous faire penser à des moments entre amis. C’est avec douceur et finesse que vous devez donner envie à votre ami cheval de vous suivre dans les activités que vous lui proposez. Prenez-le là où il est, psychologiquement, émotionnellement et physiquement, et amenez-le avec patience là où vous souhaitez aller. Que vous souhaitiez évoluer avec lui à pied ou sur son dos, et peu importe la discipline, il faut toujours procéder de la même Devenez amie avec votre chevalSi vous souhaitez que votre cheval ait envie de faire des choses avec vous et pour vous, vous devez d’abord lui montrer que vous êtes une personne de confiance. Une personne fiable, constante, joyeuse, et attentive à lui. Pour cela, commencez par passer du temps avec lui afin de nouer une jolie relation. C’est vraiment un point cela ne signifie pas qu’il est impossible d’échanger avec un cheval sans avoir passé des heures avec lui à ne rien faire au préalable. Une relation forte peut naître dès les premiers instants que l’on passe avec un cheval, pour peu qu’on s’y prenne s’il s’agit de votre cheval ou d’un cheval dont vous vous occupez, vous ne perdrez jamais votre temps à prendre soin de lui. A condition bien entendu de lui offrir ce qu’il apprécie lui et non ce qui vous fait plaisir à vous. Par exemple, rester deux heures attaché pendant qu’on lui brosse les crins et qu’on lui fait de belles nattes n’est pas précisément agréable pour un cheval. Préférez le masser ou le gratter si et où il vous le demande. Chassez les insectes qui l’importunent en été, ou asseyez-vous simplement près de lui pour méditer ou votre cheval vous apprécie, il sera plus facilement enclin à accepter une interaction avec premier point était l’objet de mon dernier article, que je vous invite à lire si vous l’avez manqué Vous voulez devenir amie avec votre cheval ? Lisez l'article ! 2_ Mettez en place une communication claire avec votre chevalLa clarté de votre communication avec votre cheval est effet, un cheval qui ne vous comprend pas ne vous considère pas comme un élément signifiant de son environnement. Il sera donc bien plus intéressé par les mouvements des autres chevaux et animaux, les bruits environnants, les véhicules, les odeurs, etc que par votre incompréhensible charabia. Hélas, à force d’utiliser mille façons de dire la même chose, de contredire leurs gestes par leur posture, de s’énerver soudainement pour une action qui a été tolérée des dizaines de fois et d’arrêter leur demande trop tôt ou trop tard, beaucoup de gens poussent leurs chevaux à ne plus leur prêter attention. Apprenez à bien communiquer avec votre corpsPour éviter cet écueil ou pour vous rattraper si votre cheval ne vous écoute déjà plus, vous devez absolument travailler votre perception de l’espace, votre conscience de votre corps et de ses mouvements, et vous tenir à une façon de communiquer qui soit rigoureusement constante. Au besoin, faites-vous aider par un professionnel qui vous aidera à poser des bases de bonnes bases avant de chercher la difficultéAvant de demander à un cheval des choses telles que trotter ou galoper en cercle autour de vous ou se déplacer latéralement, il doit déjà savoir Marcher à votre épaule. S’arrêter lorsque vous vous arrêtez. Tourner avec vous dans les deux sens. Changer de main. Tout ceci au pas puis au trot. Alors seulement, quand vous avez les bases, vous pouvez aborder des exercices plus compliqués. Si vous brûlez les étapes, il y a fort à parier que votre cheval se trouvera en difficulté pour répondre à vos demandes qu’il ne comprendra pas ou qu’il n’aura pas appris à considérer comme importantes. Il perdra alors confiance et avec un cheval, on gagne du temps à prendre son temps !3_Assurez-vous que votre cheval soit capable de répondre à votre demandeSi vous demandez trop, votre cheval perdra confiance Si vous avez une bonne relation avec votre cheval, que vous savez communiquer clairement avec lui mais qu’il ne montre aucune motivation à répondre à vos propositions, c’est peut être que par le passé vous lui avez demandé des choses qui lui ont trop coûté et qu’il n’a plus confiance en lui ni en vous. Les chevaux étant généreux et généralement dociles, ils se plient malheureusement parfois de bonne grâce à des exercices qui leur font mal ou qui sont trop physiques pour eux. Notamment, ils peuvent subir une balade intense alors qu’ils n’y sont pas préparés et n’ont pas l’endurance pour. Ou bien accepter de tourner sur des cercles serrés alors qu’ils n’ont pas encore un équilibre ou une souplesse suffisants. Ou encore faire une révérence qui leur fait mal au dos et tire sur leurs fléchisseurs. Si tel a été le cas pour votre cheval, que ce soit avec vous ou avec une autre personne, il vous faut regagner sa peu, récompensez beaucoupPour garder ou retrouver la confiance d’un cheval, contentez-vous de très peu, peu importe ce que vous demandez. A pied comme en selle, une séance peut vite fatiguer un cheval. Au début, s’il n’a pas ou plus l’habitude de faire de l’exercice, s’il est jeune ou qu’il se remet d’une blessure ou d’une maladie, 10 minutes peuvent déjà être épuisantes pour lui. Soyez à son écoute et arrêtez-vous avant qu’il soit essoufflé ou qu’il transpire. Sinon, si vous le poussez trop loin, il appréhendera la séance suivante. L’endurance et la force musculaire se travaillent, elles augmentent avec le temps et l’entraînement. Imaginez l’état dans lequel vous vous trouveriez si vous ne couriez jamais et qu’on vienne vous forcer à faire un jogging d’une heure en terrain varié ! Le corps de votre cheval fonctionne comme le vôtre, gardez-le à l’esprit ! Avec un cheval qui n’a vraiment aucun attrait pour le mouvement, vous pouvez même vous contenter d’un tour de trot ou d’un seul exercice lors des premières séances. Ainsi, il ne se sentira pas brusqué, et il vous donnera un peu plus à chaque séance. Si vous êtes en écurie, on se moquera surement de vous, mais qu’importe le regard des gens si cela vous permet de retrouver la confiance de votre cheval ? Le cheval vous envoie des signaux bien avant d’avoir atteint sa limiteSoyez toujours très attentif/ve aux signaux très discrets que vous envoie votre cheval lorsque vous lui demandez quelque chose de trop difficile ou de douloureux. S’il en arrive à plaquer les oreilles en arrière ou pire encore à vous menacer ou à se défendre contre votre demande, c’est que vous êtes allée beaucoup trop loin ! Ce qu’il vous faut capter, c’est un regard inquiet, une augmentation de sa tension musculaire, une hésitation avant de répondre. Ces signaux étant subtils, il est facile de passer à côté. Aussi, pour éviter de pousser votre cheval à dépasser ses limites, je vous conseille de toujours lui laisser la plus grande liberté possible pour répondre à votre demande. Travail en liberté, longe très longue et jamais tendue, équitation douce et paisible qui lui laisse le temps et la place dont il a besoin pour exécuter un mouvement. La moindre erreur peut vous coûter la confiance et la motivation de votre Rendez vos séances intéressantes et agréables pour motiver votre chevalIl se peut q’un cheval ne soit pas motivé à tourner en rond dans une carrière ou un manège. Qu’il rechigne à partir seul en balade ou à se prêter à des exercices de cirque. C’est peut-être simplement que ce qui lui est proposé ou la manière dont ça lui est proposé ne sont pas adaptés à sa personnalité. Plutôt que de recourir à des friandises pour le motiver, mieux vaut vous poser deux minutes et réfléchir à une autre façon de de commencer à entraîner un cheval, quel qu’en soit l’objectif, il est nécessaire de prendre le temps d’analyser sa personnalité. En effet, un même entrainement ou un même échange ne seront pas vécus de la même façon par deux chevaux différents. Cela peut paraître une évidence mais ce fait est très rarement pris en compte par les cavaliers. Pourtant, il y a beaucoup à gagner à s’adresser aux chevaux en fonction de leur personnalité et à leur proposer les choses d’une façon qui leur corresponde. Et notamment leur motivation !Si vous ne parvenez pas à motiver votre cheval, c’est que vous n’avez pas encore compris qui il est. Il est donc temps de vous atteler à le découvrir. Tout ce que vous pourrez remarquer pourra vous être utile. Voici quelques cheval apprécie-t-il le contact avec l’humain ou a-t-il besoin d’espace ? S’il aime être collé à vous, il est clair qu’il aura peu d’attrait pour un travail en longe qui lui demande de se tenir à 10 mètres de vous. Optez plutôt pour du travail à l’épaule. Marchez avec lui ! Cela vous demandera bien plus d’effort pour travailler les allures, mais il y prendra bien plus de plaisir et apprendra à s’éloigner progressivement de vous, tant que vous lui permettrez de fréquentes pauses à vos côtés. Au contraire, s’il préfère se tenir loin de vous, ne tentez pas de le forcer à travailler tout près de vous. Laissez-le trouver sa place, elle évoluera avec le cheval est-il d’une nature placide ou plutôt énergique ? S’il est de nature placide, commencez toujours vos séances dans le plus grand calme. Acceptez qu’il se déplace lentement, laissez-lui du temps pour se mettre en route. vous pourrez augmenter le rythme tout doucement, au cours de la séance et au fil des séances suivantes. Il est peut-être lent aujourd’hui, mais il vous surprendra un jour, et en attendant il peut apprécier des exercices qui demandent de décomposer lentement les gestes pour bien les apprendre, tels que les déplacements latéraux par exemple. Il se peut qu’il mette un an à galoper sur le cercle avec entrain mais qu’il maîtrise les appuyers au pas en quelques semaines ! A l’inverse, si votre cheval est énergique, ne cherchez pas à le retenir. Laissez-le exprimer sa joie de vivre et s’amuser. Tant qu’il est calme, acceptez ses allures vives. Il sera bien temps de lui demander de ralentir lorsqu’il saura tenir son dos. Sinon, vous risquez de tomber dans le piège de la sous-impulsion et du dos cheval est-il plutôt aventureux ou manque-t-il de confiance en lui ? S’il est aventureux, faites-le vivre des aventures ! Emmenez-le en extérieur, et variez au maximum le travail, afin qu’il ne s’ennuie jamais. Mais s’il est timide et peu confiant en ses capacités, ne le mettez pas à l’épreuve inutilement. Commencez toujours vos séances par un exercice qu’il maîtrise parfaitement, et n’amenez qu’une nouveauté à la fois. En résumé, laissez-vous guider par votre chevalN’essayez pas de coller à un programme pré-établi, adaptez-vous toujours à votre cheval. A sa personnalité, mais aussi à son humeur du moment. Faites de courtes séances calmes lorsqu’il est fatigué ou endormi, et suivez le rythme lorsqu’il a envie de mouvement. Improvisez chaque jour !Et Finissez toujours sur une note très positive. Si la séance a été peu satisfaisante, avant d’y mettre fin demandez au cheval quelque chose qu’il sait et qu’il aime faire, aussi bête que l’exercice puisse vous paraître. Dès qu’il s’est exécuté, dites lui combien vous êtes fier/ère de lui, combien il est beau et intelligent, et offrez-lui un beau moment de détente à vos côtés. Faites de même s’il réussi merveilleusement bien exercice, ou s’il vous propose quelque chose de top. Arrêtez de suite la séance, même si elle n’a duré que quelques minutes. L’endurance, vous la travaillerez une autre fois. Ce qui compte, c’est que votre cheval ait envie de faire aussi bien la prochaine fois !Monté comme à pied, le cheval doit prendre du plaisir à ce que vous lui proposez !5_ Acceptez et encouragez tout ce que votre cheval proposeUne interaction est forcément réciproque !Un autre point très important pour que votre cheval soit et reste motivé à interagir avec vous réside dans la définition même d’une interaction. Elle suppose des actions et une communication réciproques entre deux individus. Trop souvent, l’échange ne fonctionne que dans un seul sens l’humain propose – ou impose – et le cheval dispose – ou obéit. Alors, aucune liberté n’étant laissée au cheval, celui-ci subit davantage l’échange qu’il n’y prend plaisir et finit par s’éteindre. Il perd sa fraîcheur mais aussi sa motivation. Selon sa personnalité, il peut cesser de réagir aux demandes qu’il faut faire de plus en plus fermement. Ou il peut s’anesthésier et se contente d’effectuer ses taches à la manière d’un robot. C’est d’une tristesse infinie !Alors n’exigez pas seulement que le cheval vous écoute, écoutez-le vous aussiLorsque votre cheval propose quelque chose, acceptez de l’écouter et encouragez-le. Il vous fait une jambette que vous n’avez pas demandée ? Super, demandez-lui en une avec l’autre jambe et vous commencerez à travailler le pas espagnol ! Il part soudain au trot ? Parfait, entretenez l’action et demandez-lui un bon allongement. Ce sera ensuite l’occasion de tester l’arrêt depuis le trot. Rien de ce qu’il propose n’est mauvais, tout peut être intégré dans le travail. S’il sait qu’il peut participer, qu’il peut proposer des choses lui aussi et être écouté et félicité, votre cheval aura bien plus envie d’échanger avec vous !6_ Soyez toujours juste avec votre chevalL’erreur du cheval peut venir de vous Quand un cheval propose quelque chose, ce n’est pas toujours spontané. Il peut aussi simplement répondre à une demande d’une façon différente de celle que vous attendiez. Dans ce cas, ne le réprimandez pas. D’abord, parce que l’échange avec vous doit rester un plaisir. Or, si vous vous énervez ou si vous vous mettez en colère, ce sera très inconfortable pour lui. Ensuite, parce qu’il y a de fortes chances que vous vous soyez mal exprimée.Une réponse trop forte n’est pas une mauvaise réponse !De même, s’il répond trop fort à une demande, faites comme si c’était ce que vous attendiez. C’est juste qu’il est plus fin que vous ne le pensiez. Il vous suffira d’affiner vos propres signaux pour qu’il réagisse moins fort la prochaine fois. Par exemple, vous demandez une transition du trot au pas et le cheval s’arrête. Ne le poussez surtout pas à repartir au pas ! C’est génial, il a très bien réagi ! Félicitez-le, et accordez-lui une pause avant de repartir. La prochaine fois, vous ferez une demande plus discrète pour qu’il se contente de calme !Si vous vous montrez injuste avec un cheval, il n’aura aucune envie de revivre une séance avec vous. Certains chevaux pardonnent facilement, mais d’autres peuvent se braquer très fort ou se démotiver complètement face à des situations injustes. Alors quand votre cheval répond d’une façon inattendue à l’une de vos demandes, demandez-vous pourquoi. Restez calme et souriante, et redemandez en ajustant vos indications. Dès qu’il répond comme vous le vouliez, faites une longue pause pour qu’il ait le temps de bien assimiler ce qui vient de se passer. Vous verrez que cette façon de fonctionner est toujours Visez le bon objectif avec votre chevalUn objectif vous pousse, mais ça peut être dans la mauvaise direction Si vous lisez cet article, c’est que vous avez un objectif quelconque avec un cheval. Qu’il s’agisse du vôtre ou bien d’un cheval avec lequel vous entraînez. Faire de l’equifeel, le monter en dressage, sauter des obstacles, randonner avec lui… Peut-être participer à des compétitions ou même vous produire en spectacle. Quel que soit votre objectif, il est à la fois votre moteur et la raison qui vous poussera à commettre le plus d’erreurs. Car c’est quand on vise un objectif précis qu’on travaille le plus mais aussi qu’on est le plus tenté d’aller vite et de demander beaucoup. Au risque de griller des étapes et de manquer de respect à son cheval. Peu importe votre but, il doit en fait toujours être secondaire. Votre objectif premier doit être d’aider votre cheval à développer son plein potentiel. Ne mettez pas le cheval au service d’un objectif mais l’objectif au service du cheval Oubliez l’idée de lui demander au cheval de fournir un travail. Mettez-vous au service de son développement et de son épanouissement. Prenez plaisir à le voir prendre confiance en lui, se muscler, s’ouvrir et s’exprimer un peu plus chaque jour. De cette façon, si vous cherchez à chaque instant à ce qu’il se sente bien et beau, vous saurez toujours vous arrêter à temps. Vous demanderez juste ce qu’il peut donner et trouverez la meilleure façon de lui proposer les choses. Vous verrez qu’alors votre voyage avec lui deviendra sublime. Et alors ce qui était votre objectif principal ne vous intéressera peut-être même plus tant que cela. Tout au plus vous aidera-t-il à guider le cheval. A ce moment, vous oublierez vous être jamais demandé comment motiver votre cheval sans friandises… Laure Souquet Ostéopathe équine et étiothérapeute equinessentiela Photographe Kevin Simonet chevaux chiens équin canin Montluçon Vichy Moulins Clermont Ferrand Thiers Volvic et Riom Pays de Gex Annemasse Douvaine

Saluttous le monde je pense que tous et dans le titre :d je voudrais commencer a apprendre le pas espagnole a ma jument tous les conseils sont [] Doctissimo Forums

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Ily a plusieurs ''versions'' de révérance possible. La révérence est également appelé ''salut de la reine''. Durant cette manoeuvre le cheval doit avoir un antérieur bien tendu, et droit,
Voici des extraits du calendrier de politesse de 2012. Le titre est Savoir-vivre et bonnes manières, une question par jour pour découvrir les règles et usages en France et à l’étranger. C’est paru Editions 365 en 2011. L’auteur est Laurent Loiseau. Le 18 septembre Le raffinement du protocole La reine d’Angleterre Victoria prit un jour son carrosse, accompagnée d’un chef d’Etat en visite officielle en Grande-Bretagne. Dans Londres, alors que l’équipage remontait le Mall, l’un des chevaux lâcha un bruit aussi sonore qu’incongru que tout le monde entendit dans la voiture. La reine, très embarrassée, s’excusa auprès de son hôte. Que croyez-vous donc que celui-ci répondit ? Réponse Le plus naturellement du monde, le chef d’Etat s’adresse à la souveraine de ce si grand empire et lui dit, avec une élégance mêlée d’une ponte d’impertinence Ne vous en faites pas, madame. Mais si votre Majesté n’avait rien dit, j’eusse pensé que c’était le cheval ! ». » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 25 septembre Dans les maisons bourgeoises, quelle fut longtemps la coutume la plus répandue concernant la domesticité ? Changer le nom des serviteurs Marier la bonne au jardinier Les loger dans une maisonnette Réponse A changer le nom des serviteurs Certaines pratiques courantes de l’âge d’or de la politesse tomberaient aujourd’hui sous le coup de la loi. Ainsi, il était courant que l’on annonce leur prénom aux nouveaux domestiques. Bonne, cuisinière, femme de chambre, chauffeur ou jardinier étaient ainsi affublés de prénoms tels que Léontine, Clémentine, Marie, Firmin ou Baptiste afin qu’ils ne puissent se confondre avec le nom de l’invité. La raison la plus souvent invoquée pour justifier cette pratique était, pour les propriétaires, d’avoir à éviter de retenir un nouveau prénom à chaque changement de personnel… » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette 16 novembre Un petit tour et puis s’en vont… La révérence a totalement disparu de l’éducation française depuis la fin des années 1950. Pourtant, son apprentissage est toujours d’actualité chez les jeunes filles de la bonne société, qu’elles soient belges, néerlandaises ou britanniques. Savez-vous pourquoi ? Parce que la politesse est plus importante dans ces pays qu’ailleurs. Parce que la royauté fait partie de leur identité nationale Parce qu’elles sont susceptibles de rencontrer un jour le souverain de leur pays Réponse C parce qu’elles sont susceptibles de rencontrer un jour le souverain de leur pays. Au passage de la reine Elisabeth II d’Angleterre, de la reine Béatrix des Pays-Bas ou du roi Albert II de Belgique, nombre de jeunes filles savent parfaitement se contorsionner avec grâce comme on le faisait jadis. Leur révérence est le signe de leur attachement à la monarchie constitutionnelle de leur pays. On leur apprend donc la petite référence, où la jeune fille fléchit légèrement les genoux tandis que ses bras restant ballants, et la grande référence, au cours de laquelle la jeune fille ou la dame fait un geste ample en forme de cœur avant de relever les pans de sa robe lorsqu’elle accentue le fléchissement de ses genoux jusqu’à s’accroupir. Le saviez-vous ? Jusqu’en 1968, on apprenait aux jeunes files de la haute société française à pratiquer les gestes de révérence. » Le 11 juillet Tchin-tchin ! Le mot trinquer » vient de l’allemand trinken, qui veut dire boire ». Aujourd’hui, on ne trinque qu’avec un verre d’alcool en main de la bière, du vin, du cidre ou de la vodka, par exemple. La coutume viendra-t-elle à s’éteindre un jour ? Toujours est-il que depuis les années 1970, l’influence anglo-saxonne tend à remplacer celle-ci par le toast, ce lever de verre à l’américaine. Quant aux pays musulmans, ils trinquent le plus souvent en buvant le thé ou le café. On aime colporter l’histoire de ce capitaine d’industrie qui, après avoir signé un important contrat en Chine, honore ses hôtes d’un toast d’adieu. Après avoir sabré le champagne, celui-ci lance à la cantonade le tchin-tchin ! » traditionnel. Le responsable de la délégation chinoise, après quelques secondes d’hésitation, lève son verre à on tour en lançant un non moins tonitruant France-France ! ». » Note personnel aujourd’hui, il est parfaitement possible de trinquer avec un verre d’eau ou un verre de jus de fruit. Vous en saurez plus ici. Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 26 décembre Qui a dit — Ce soir, je ne suis pas le Premier ministre et vous n’êtes pas le président de la République, nous sommes deux candidats… Vous me permettrez donc de vous appeler monsieur Mitterrand. — Mais vous avez tout à fait raison… monsieur le Premier ministre. » ? Valéry Giscard d’Estaing Michel Rocard Philippe Séguin Laurent Fabius Jacques Chirac Réponse E Jacques Chirac Avant le deuxième tour de l’élection présidentielle de 1988, les deux candidats, Jacques Chirac et François Mitterrand, débattent sur Antenne 2. On assiste alors à un grand moment de raffinement dans l’art de la perfidie oratoire. Le savoir-vivre est respecté, mais les réparties sont d’une cinglante cruauté comme l’illustre cet échange entre les deux hommes. Le débat, qui fait date, prouve que la politesse extrême n’atténue pas la violence des propos. » Le 30 décembre Carte de vœux… une affaire d’artiste Dans quel pays est née la coutume de s’adresser des cartes de vœux ? En France En Angleterre En Espagne Réponse B En Angleterre C’est au milieu du XIXe siècle, vers 1843, que le fondateur du Victoria and Albert Museum de Londres, un certain Henry Cole, proche du prince Albert, l’époux de la reine Victoria, eut l’idée de créer des cartes de vœux, à l’occasion de la nouvelle année. Il confia au peintre John Culcott Horsley le soin de lui dessiner un petit carton tiré à mille exemplaires. Quatre cents cartes furent réservées à Cole et si cents destinées à être vendues au prix d’un shilling. La carte de vœux était née. » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 7 mars Arsène Lupin et les cartes de visites cornées Il existe une coutume étrange qui consiste à donner une carte de visite dont on a auparavant plié le coin supérieur. D’où provient cette singulière pratique et dans quelle circonstance est-on susceptible de recevoir la mystérieuse carte cornée ? Il s’agit d’une manière de se faire connaître pour les francs-maçons. La carte pliée est le signe d’un passage en ville ». Un coin corné, c’est un cœur qui se déclare. Réponse B la carte pliée est le signe d’un passage en ville ». Une carte au coin pliée est un code indiquant que celui à qui elle appartient est venu lui-même la déposer au domicile de son destinataire. Souvenez-vous du héros de Maurice Leblanc, Arsène Lupin ne pliait-il pas le coin de la carte de visite qu’il laissait toujours sur le lieu de ses méfaits ? Il n’était pas rare, à l’époque où le téléphone n’existait pas, de se rendre chez quelqu’un pour y déposer une lettre ou demander audience. En cas d’absence, on laissait la carte pliée. Une autre coutume consistait à faire déposer par un domestique une carte, non cornée cette fois, en y faisant figurer des mentions abrégées qui nous paraissent aujourd’hui bien mystérieuses » signifiait pour prendre congé », », pour prendre nouvelles » et, en guise de première déclaration, » voulait dire pour faire connaissance ». Seule réminiscence contemporaine de cette époque où la lenteur pimentait encore les rapports humains, la modeste mention » que l’on peut apposer à la place du timbre sur une enveloppe que l’on dépose En Ville », c’est-à-dire en personne. » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 30 mai La diplomatie des petits pas Rien ne vaut un cadeau pour renforcer l’amitié entre les peuples, sauf s’il est choisi par des fonctionnaires qui ne connaissent rien à la culture du pays qui reçoit. Dans ce cas, la cérémonie de l’échange des présents peut tourner au vinaigre… En 1989, on frôla l’incident diplomatique à l’occasion de la visite officielle en Chine du président Georges Bush. Tout avait pourtant bien commencé ce dernier reçut du Premier ministre chinois Li Peng une splendide bicyclette, en souvenir des promenades à vélo que l’ancien ambassadeur des Etats-Unis à Pékin affectionnait. Puis, ce fut au tour de Georges Bush de présenter le cadeau du peuple américain au plus grand pays d’Asie une magnifique paire de bottes de cow-boy. Ravi, le premier ministre chinois les accepta avec plaisir, mais faillit s’étrangler lorsqu’il découvrit les semelles sur lesquelles le drapeau chinois était gravé. Les personnes quelque peu informées savent pourtant qu’en Asie la semelle des chaussures est considérée comme la partie du corps la plus vile et la plus impure. De toute évidence, les Etats-Unis venaient d’écraser sous leurs bottes l’Empire du Milieu… » Le 7 août Peut-on faire attendre sa dulcinée en risquant quelques minutes de retard ? C’est indispensable pour se faire désirer. Pas question l’exactitude est la politesse des rois Seulement au premier rendez-vous pour voir si la demoiselle est patiente. Réponse B Pas question l’exactitude est la politesse des rois Quel que soit le pays ou le milieu, tout retard à un rendez-vous galant sera interprété, à raison, comme le signe d’une grossièreté intolérable, surtout si ce retard est le fait de la gent masculine. Il est donc à proscrire absolument, surtout s’il s’agit de fomenter un plan machiavélique pour vérifier l’impatience de l’intéressée ou tout simplement pour se faire désirer. Un rendez-vous galant n’a rien d’un jeu de stratégie. C’est une démonstration de finesse et de gentillesse. En revanche, vingt minutes de retard sont toujours tolérables en ce qui concerne le beau sexe… à condition que la jeune femme prie son compagnon de bien vouloir l’excuser. Le saviez-vous ? L’écrivain Montherlant raconte, dans Les Jeunes Filles, comment le personnage principal comptabilise le retard de ses rendez-vous et prend la décision de les quitter au bout d’un temps équivalent à ces minutes de retard accumulées ! » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 15 août De la délicatesse dans un monde de brutes Dans la rue, chez des amis, dans une réception, où que vous vous trouviez, votre comportement est passé à la loupe par ceux qui vous entourent. Sachez que les gens du monde ont la capacité de faire trois choses en même temps parler pour ne rien dire, regarder autour d’eux pour repérer une incongruité qui pourra faire l’objet d’un commentaire a posteriori et écouter les commentaires désobligeants déformés et amplifiés. Gare aux attitudes déplacées. Pour échapper au pilori, imitez les gazelles plutôt que les éléphants. Lorsque vous marchez, ne claquez pas les talons. Apprenez à ouvrir et à fermer délicatement les portes. Ne faites pas craquer vos doigts. Riez, pouffez, gloussez, mais ne barrissez pas. Bref, soyez aérien dans votre comportement. Le saviez-vous ? La prestance date de l’année 1530 ! C’est Erasme qui, le premier, fit passer l’idée que l’honnête homme était d’abord quelqu’un qui contrôlait parfaitement son corps. Silencieux, pudique, le corps redressé en permanence, le costume parfaitement ajusté, l’homme, par une présentation et une attitude irréprochables, sort de la lascivité, de l’imbécillité et de la sournoiserie. Avec Erasme, la civilité n’est plus un art de feindre, mais devient une attitude naturelle et saine, dont on peut être fier. » Le 21 août Trésor de la politesse Lors de sa venue à Londres, à la fin du XIXe siècle, un dignitaire indien fut invité à table par la reine Victoria, qui n’avait rien d’un boute-en-train. Elle eut un éclair de génie qui surprit son assistance et fit traverser les âges à cette anecdote. Lors du premier souper, des crustacés furent servis. Une coupelle en argent avec de l’eau et une rondelle de citron était disposée à la gauche des convives, afin que chacun puisse se rincer les doigts après avoir touché aux fruits de mer. Notre plénipotentiaire indien, qui n’avait pas été informé de ce protocole culinaire, but d’un trait l’eau citronnée. S’apercevant de la méprise, la reine eut la présence d’esprit et la délicatesse d’en faire de même, sans attendre, ce qui sauva l’honneur du diplomate. Par sa générosité et son sens de l’à-propos, la reine Victoria sauvait ainsi son invité indien d’une humiliation publique, s’il s’était aperçu que l’un des convives utilisait la boisson comme eau de rinçage. En emboîtant le pas sur-le-champ à la méprise de son invité, la souveraine portait le savoir-vivre au pinacle elle agissait avec à-propos, comme doit le faire une maîtresse de maison, en donnant à tous les convives le signal de la règle à respecter ne pas mettre ses doigts dans le rince-doigts, éventuellement le boire. Un cas d’école en matière d’étiquette. » Miscellanées sur le savoir-vivre, la politesse et l’étiquette Le 11 décembre Dans quel pays a-t-on l’obligation de s’adresse à ses voisins de table ? En France Aux Etats-Unis En Italie Réponse B aux Etats-Unis Il y a des règles de savoir-vivre plutôt contraignantes ! Aux Etats-Unis, la politesse enjoint les convives d’un dîner à se parler mutuellement. La règle est si stricte qu’elle a déjà donné lieu à des scènes cocasses que la chronique mondaine et la littérature ont relatées. Ainsi, il est déjà arrivé que certaines personnes, mal embouchées ou exaspérées par leur voisin de table, se penchent vers eux pour leur réciter la table de multiplication ! Et ce, sans qu’il soit possible de s’en offusquer, tant les scandales sont proscrits par la politesse puritaine. » kRBqH. 135 299 450 198 466 430 81 184 244

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